Bientôt une taxe sur les Appareils photo numériques ? C'est en effet ce qui pourrait arriver dans les prochains mois, l'Union Européenne ayant dans ses cartons un projet visant à appliquer des droits de douane de l'ordre de 4,9 % à ces appareils, devenus des biens de consommation courants. Cette taxation subite serait motivée par le fait que les appareils photo numériques ont franchi un pas décisif en se dotant de fonctions vidéo... au point qu'ils sont aujourd'hui à deux doigts d'être classés dans la catégorie des caméscopes.
Ferrania Technologies (jusqu'alors plutôt axé sur les papiers et autres consommables jet d'encre), annonce deux nouveaux Appareils photo numériques : les Solaris Digital 711 et 611. Abordables, ces deux compacts sortent du lot en proposant des fonctions multimédia qui viennent en complément des fonctions de prise de vue classiques. Un peu à la façon des i7 et i70 de Samsung (grand spécialiste de la convergence s'il en est), ces appareils font office de baladeur MP3 et de dictaphone, sans compter qu'ils sont en mesure (comme tous les appareils à l'heure actuelle) d'enregistrer des clips vidéo en 640 x 480. Ce sont pour le reste des compacts automatiques classiques, qui proposent aux utilisateurs quelques modes scène adaptés aux conditions de prise de vue moins ordinaires tels que : portrait, paysage, aube, contre-jour, feux d'artifice et nuit.
, discret mais malgré tout assez présent sur le segment des Appareils photo numériques compacts, vient de dévoiler trois nouveaux modèles qui vont venir rafraichir sa gamme dans les prochaines semaines. Les Photosmart R837, M537 et M437 succèdent ainsi respectivement aux R727, M525 et M425. Tous équipés d'un zoom 3 x et de capteurs compris entre 7,2 et 5 millions de pixels, ces appareils sont des compacts « tout automatiques » par excellence. En lieu en place des modes et des réglages avancés, ils proposent en effet des modes scène permettant de photograhier dans les conditions sortant de l'ordinaire (portrait de nuit, neige, théâtre...). Ces compacts proposent surtout une abondance de fonctions de retouche et de modification des images. Une « galerie » est ainsi mise à disposition de l'utilisateur pour lui permettre d'ajouter des bordures à ses images, d'en modifier les couleurs, de les assembler sous forme de panorama et de leur appliquer des effets (sépia, dessin animé, etc.).
Leica et Panasonic entretiennent des liens étroits, qui transparaissent tant au niveau des appareils « Lumix » de Panasonic (on pense au reflex DMC-L1 au design inspiré de l'argentique et vendu uniquement en kit avec un nouvel objectif Leica), qu'au niveau des compacts numériques Leica. Ce dernier dispose en effet d'une petite gamme d'appareils qui empruntent beaucoup à Panasonic, le D-Lux 3 étant ainsi ni plus ni moins que le clône du LX2, tandis que le tout nouveau C-LUX 2 reprend l'ensemble des spécifications du FX30 de Panasonic (voir cette brève). Si cette pratique vaut la peine d'être signalée, c'est bien parce que l'addition est plus élevée dans le cas d'appareils portant la griffe Leica (plus de 150 euros de majoration entre le LX2 et le D-Lux 3 par exemple).
Avec le Cyber-shot DSC-G1, Sony signe un appareil photo assez étonnant. Ce compact vient pour commencer rejoindre le club assez fermé des compacts WiFi, Sony s'incrivant donc dans la lignée des EasyShare One de Kodak et du Coolpix S50c de Nikon (pour ne mentionner que le modèle le plus récent de ce constructeur qui en est à la troisième génération de compacts dotés de la technologie WiFi). Ce module WiFi (b/g) permet au DSC-G1 d'envoyer des photos vers d'autres appareils (jusqu'à 4) ou vers un ordinateur.
En même temps que le Z885 (un compact qui grimpe jusqu'à 8 000 Iso) et le Z712 IS (un bridge 12 x stabilisé), Kodak annonce un compact sans prétentions et très bon marché : l'EasyShare C613.
Alors que Kodak s'était montré jusqu'alors plutôt raisonnable en ce qui concerne le niveau de sensibilité maximal de ses appareils, le voilà soudain qui permet à un de ses compacts de grimper jusqu'à 8 000 Iso ! Alors que la valeur de 800 Iso est déjà souvent critique sur ces appareils, on peut s'interroger sur le profit qu'il y a à les pousser au-delà. Quelle qualité d'image le Z885 nous servira-t-il à ces valeurs extrêmes, sachant que la montée en sensibilité est toujours suivie d'une montée du « bruit numérique », ces pixels de couleurs parasites qui s'incrustent dans l'image et en gomment les détails ? On retiendra toutefois que Kodak fait acte de prudence en réservant les deux plus hauts niveaux de sensibilité (6 400 et 8 000 Iso) aux images inférieures ou égales à 2,2 millions de pixels, la réduction de la résolution permettant de limiter la visibilité du bruit.
Kodak fait partie de ces rares constructeurs qui misent toujours assez fortement sur les bridges, ces appareils (sortes d'intermédiaires en les compacts et les reflex) qui se caractérisent par des modes et réglages avancés, une bonne prise en main et un bon confort de visée grâce au viseur électronique qui en vient en complément de l'écran. Peu de temps après avoir annoncé le Z710, le voilà qui récidive avec le Z712 IS. Ce nouveau modèle dispose d'un zoom plus puissant (12 x contre 10 x pour le Z710) qui présente en outre l'avantage d'être stabilisé : il sera donc moins sensible aux tremblements infligés par le photographe à l'appareil, lesquels tremblements sont cause de nombreuses photos floues.
A peine quelques mois après avoir mis sur le marché le D40 (voir cette brève), voici Nikon qui récidive avec un « D40 bis ». Le D40X reprend en effet la plupart des spécifications du D40, tout en se dotant d'un capteur plus riche en pixels (10,2 millions contre 6,1 millions) : c'est là le principal changement. La cadence d'acquisition d'images s'accroît également pour passer de 2,5 à 3 images par secondes, tandis que la sensibilité minimale passe à 100 Iso (contre 200 Iso pour le D40).
Après le mju 770, le spécialiste du compact résistant qu'est Olympus nous annonce un nouvel appareil non pas étanche mais « tout temps », c'est à dire capable de photographier dans des conditions climatiques délicates telles que les chutes de pluie et de neige.
A quelques jours de l'ouverture de la PMA 2007 PMA (Photo Marketing Association), le grand salon de l'image qui se tiendra du 8 au 11 mars prochains à Las Vegas, Ricoh vient à son tour de dévoiler ses nouveautés, en l'occurence le Caplio R6. Cet appareil, successeur du Caplio R5, se voit doté d'un écran plus large (2,7 pouces contre 2,5 pouces pour le R5) ainsi que d'une fonction de reconnaissance des visages qui permet une meilleure exposition et mise au point sur les personnes, fonction qui est incontestablement devenue incontounable au cours de ces derniers mois.
Après un teasing de quelques jours, Olympus a présenté officiellement ses trois prochains reflex : les E-410 et E-510 ainsi que le successeur du E-1. Ces deux premiers reflex, qui succèdent respectivement aux E-400 et E-500, seront disponibles au début de l'été. Le successeur du E-1 sera de son côté commercialisé un peu plus tard dans l'année. Les nouveautés Olympus ne se limitent pas aux boîtiers puisque quatre nouvelles optiques (dont trois SWD) ainsi qu'un téléconvertisseur ont également été annoncés. D'ici la fin de l'année, toute la gamme reflex d'Olympus aura donc été revue, le E-410 venant s'adresser aux amateurs, le E-510 aux utilisateurs experts et le successeur du E-1 aux pros.
En ce début d'année, Panasonic prend la tête du classement des ventes d'appareils photo en France, avec en janvier 14,6 % de parts de marché en volume sur l'ensemble des segments (appareils compacts, bridges et reflex).
En cette période d'annonces pré-PMA (Photo Marketing Association), Sony dévoile deux modèles qui vont venir renouveler sa gamme d'ultra-compacts de la série T : les cyber-shot DSC-T100 et DSC-T20. Avec son écran de 3 pouces et son zoom 5 x, le DSC-T100 prend la tête de la série, tandis que de son côté le DSC-T20 doit se contenter de caractéristiques plus classiques : zoom 3 x et écran de 2,5 pouces.
À défaut de nouveautés en matière de reflex numérique (Sony va-t-il poursuivre dans cette voie qu'il a inaugurée avec l'Alpha 100 ?), la pièce maîtresse des annonces pré-PMA de Sony est constituée par deux bridges, les DSC-H7 et H9. Avec ces deux appareils qui viennent en remplacement des H5 et H2 (voir cette brève), Sony renouvelle donc ses bridges « débutants ». En attendant, plus haut dans la gamme, un modèle comme le DSC-R1 doit commencer à se sentir un peu oublié.
A quelques jours de l'ouverture de la PMA 2007 PMA (Photo Marketing Association), le grand salon de l'image qui se tiendra du 8 au 11 mars prochains à Las Vegas, les annonces se succèdent. Si les commentaires et les hypothèses vont bon train au sujet des nouveaux appareils qui seront dévoilés, il y a aussi quelques certitudes, parmi lesquelles l'arrivée de compacts de 12 millions de pixels : un nouveau venu comme GE a ainsi dores et déjà promis des appareils d'une résolution équivalente (voir cette brève), et l'on peut imaginer sans prendre trop de risques qu'un Casio qui n'avait pas hésité à franchir le premier la barre des 10 millions de pixels y viendra prochainement (voir cette brève). Pour autant, c'est un troisième acteur, Sony en l'occurrence, qui ouvre le bal avec le Cyber-Shot DSC-W200 doté donc d'un capteur CCD 1/1,7 pouce de 12,1 millions de pixels. A quoi bon une telle résolution ? Pour réaliser des agrandissements supérieurs au 20 x 30 cm, ou encore pour permettre de recadrer autour d'une petite partie ou d'un détail de l'image, tout en conservant un ficher d'une résolution importante. Sachant que 5 millions de pixels offrent déjà une large marge de manœuvre (on peut imprimer des A4), on peut s'interroger sur l'utilité des 7 millions supplémentaires.
Afin de renforcer sa position sur le marché des lecteurs haute définition et, surtout, de damer le pion au format concurrent défendu par Toshiba, Sony prépare d'après diverses sources le lancement d'un nouveau lecteur de salon Blu-ray pour cet été. Baptisé BDP-S300, il reprendrait l'essentiel des caractéristiques de l'actuelle platine Blu-ray de Sony, la BDP-S1, mais ne serait facturé que 600 dollars, là où la BDP-S1 est vendue aux alentours de 1000 dollars.
Qu'on se le dise... dans le vaste monde de l'électronique grand public, Samsung est partout ! Ecran ou TV LCD, graveur DVD, téléphonie mobile, Ordinateurs Portables, platines de salon et sans oublier l'incontournable marché des baladeurs audio numérique ! La firme coréenne se place d'ailleurs comme l'un des meilleurs du marché français et européen dans ce domaine où elle se dispute les premières places avec , Creative et Sandisk.
La tendance est aux zooms « puissants » en entrée de gamme. Pour environ 200 euros, Canon (voir cette brève) et aujourd'hui FujiFilm avec les FinePix A820 et 900, proposent des compacts dotés de zooms 4 x, soit une amplitude légèrement supérieure à celle de l'objectif 3 x qui équipe la plupart des compacts. En contre-partie, on a ici un objectif peu lumineux et loin d'être grand angle, mais on ne peut pas tout avoir ! L'autre caractéristique qui s'affirme en entrée de gamme, c'est un capteur d'une résolution élevée, les FinePix A820 et 900 étant équipés respectivement de capteurs de 8 et 9 millions de pixels. Ces pixels (qui déterminent les possibilités d'agrandissements) sont ici en nombre bien supérieur à ce qu'il faut pour imprimer au format carte postale voire un A4. Quoi qu'il en soit, c'est la tendance, et vous pourrez toujours le cas échéant caler l'appareil sur une résolution moindre (4 millions de pixels par exemple), de façon à enregistrer un nombreux plus conséquent de photos sur votre carte mémoire.
Le nouvel Optio A30 s'incrit dans la lignée des compacts avancés (et stylés puisqu'il prétend au qualificatif de « bijou ») de Pentax. Comme les A10 et A20 qui l'ont précédé, l'Optio A30 dispose d'un système de stabilisation, caractéristique encore rare sur les compacts au moment de la sortie de l'A10, mais qui s'est depuis généralisée. Amélioré par rapport aux générations précédentes, ce dispositif de stabilisation agit en détectant les tremblements parasites infligés l'appareil lors de prises de vue à main, et en déplacant le capteur dans le sens inverse de façon à réduire le risque de photos floues. Pour ce qui est de la photographie de sujets en mouvements ou de scène en conditions de faible luminosité, l'appareil met cette fois à disposition un niveau de sensibilité élevée (3 200 Iso, à la résolution de 5 millions de pixels au lieu des 10 millions natifs) qui permet d'augmenter la vitesse d'obturation et ainsi de geler plus facilement les mouvements ou encore d'éviter les poses longues difficiles à tenir à main levée.
Pentax et Olympus se sont fait une spécialité des compacts étanches, capables d'aller sous l'eau sans l'assistance d'un caisson étanche. L'Optio W30 que Pentax vient de présenter est conçu pour résister à une immersion de deux heures sous trois mètres d'eau, contre 30 minutes sous 1,5 mètres d'eau pour le W20 qui l'a précédé. On est encore un peu loin des performances de l'Olympus Mju 770, mais ces caractéristiques permettent déjà d'envisager une plongée ou une baignade dans de bonnes conditions, d'autant que l'appareil est conçu pour résister au sable et aux poussières.
Les bridges - c'est-à-dire les appareils débrayables et dotés d'un zoom puissant -, se font rares. Ils subissent en effet la concurrence de plus en plus rude des compacts que les constructeurs arrivent à équiper de zooms jusqu'à 10 x, mais également celle des reflex entrée de gamme qui pour environ 600 euros ouvrent des perspectives bien supérieures. Pour autant, un bridge reste un excellent choix lorsqu'on souhaite limiter l'encombrement tout en bénéficiant d'un appareil performant.
Canon annonce le lancement d'un nouvel appareil photo numérique, le PowerShot TX1. La particularité de ce modèle, outre sa forme qui rappelle furieusement un caméscope, vient de sa fonction... vidéo ! Le TX1 peut en effet enregistrer des vidéos en HD avec une résolution de 1280x720 au format AVI et avec un débit de 30 images à le seconde. Doté d'un zoom optique 10x et d'un écran de 1,8 pouce, le TX1 accepte les cartes mémoires SD et SDHC. Pesant moins de 220 grammes, il embarque un capteur CCD de 7,1 mégapixels et peut monter jusqu'à 1600 ISO.
Mettant un peu plus l'accent sur la prise en mains que les appareils de type Ixus qui eux s'attachent surtout au design, les PowerShot sont « l'autre » grande famille de compacts de Canon. A l'occasion d'une présentation pré-PMA, Canon a dévoilé deux nouveaux modèles qui viennent élargir cette gamme : les A570IS et A560.
Toujours plus fins, toujours plus stylés, toujours plus séduisants... Telle pourrait être la devise des Ixus de Canon. Ces appareils - et ce même si tous les constructeurs (en particulier Sony et Casio) proposent des modèles de type « bijoux » -, restent une référence en matière d'ultra-compacts. Pour les nouveaux modèles « collection printemps 2007 », Canon a effectué un petit retour aux sources en s'inspirant du design du premier Ixus sorti il y a un peu plus de dix ans de cela. Entre les tout récents Ixus 70 / 75 et les modèles qui les ont précédés, les améliorations sont à aller chercher du côté de l'écran - aux couleurs plus saturées et traité anti-reflets -, et de la fonction de reconnaissance des visages optimisée pour la photo au flash et capable d'identifier des visages à une distance supérieure.
Ca y est, les premières optiques SDM (Super Direct-drive Motor) annoncées à l'automne en même temps que le K10D sont officialisées. La nouvelle devrait réjouir les Pentaxistes, en particulier les possesseurs du K10D, seul reflex de la marque (grâce à ses deux plots situés à la base de la partie optique) à même pour le moment de profiter de la mise au point ultra-rapide et silencieuse qu'elles assurent. La motorisation ultra-sonique sera ainsi automatiquement activée lorsque les optiques
Beaucoup attendaient des nouveautés en matière de reflex amateur / expert, et c'est finalement un seul et unique reflex « pro » qui a été aujourd'hui dévoilé par Canon. L'EOS-1D Mark III - présenté comme le reflex le plus rapide au monde du fait de sa cadence d'acquisition de l'ordre de 10 images par seconde à la résolution de 10 millions de pixels -, est une évolution « logique » du 1D Mark II N. Par rapport à son prédécesseur, l'EOS-1D Mark III gagne un peu en légèreté (225 grammes en moins), il bénéficie d'un viseur plus large et plus lumineux et d'un mode autofocus plus performant. Il intègre également un mode dit de « visée directe » (comme l'EOS 20DA avant lui), qui permet de prévisualiser l'image au moyen de l'écran arrière, ainsi qu'un dispositif anti-poussières qui permet de préserver le capteur de leur dépose.
Panasonic annonce le lancement du SDR-S10, un caméscope numérique ultra-compact et ultra-léger. Pesant à peine plus de 182 grammes, il est annoncé par le fabricant comme résistant à l'eau, à la poussière et même aux chutes. Muni d'un zoom optique 10x et d'un stabilisateur numérique, le caméscope embarque un capteur CCD de 800 000 pixels et se dote d'un écran LCD de 2,7 pouces. L'enregistrement est ici totalement numérique puisqu'il s'effectue sur une carte mémoire SD ou SDHC au format MPEG2 avec trois niveaux de qualité.
Nikon en est aujourd'hui à la troisième génération de compacts dotés de la technologie Wi-Fi, les Coolpix P1 et P2 ayant fait place au S7c, lui-même aujourd'hui suivi par le S50c. Le module Wi-Fi du Coolpix S50c est de type IEEE 802.11b/g. Cet appareil en tire parti pour transférer les images vers un serveur sécurisé de 2 Go (ce qui permet de les sauvegarder et de vider la carte mémoire), puis pour informer un contact par e-mail de la présence de nouvelles photos sur l'espace de stockage.