Epson a récemment annoncé ce qu'il présente comme les plus petites imprimantes jet d'encre multifonction au monde. Les « Stylus SX230 » et « SX430 » inaugurent à ce titre la catégorie « small-in-one », de la contraction du mot « small » (petit) et de la locution « all-in-one » (tout-en-un).
Avec des dimensions de 390 x 300 x 145 mm, ces multifonctions embarquent quoi qu'il en soit 19 % de composants de moins que leur devancière, la Stylus TX22 commercialisée à ce jour en Europe, pour un encombrement total réduit de 39 % et une empreinte au sol réduite de 24 %.
Le fabricant met également l'accent sur un fonctionnement économique, avec un coût à la page de seulement 3 centimes d'euro en monochrome, compétitif face à une laser d'entrée de gamme, pour une consommation électrique inférieure de 70 % par rapport à la moyenne de cette catégorie.
Elles abritent par ailleurs quatre cartouches d'encre pigmentaire Epson DuraBrite Ultra, impriment jusqu'en 5760 x 1440 point par pouce et jusqu'à 30 pages par minute en monochrome ou moitié moins en couleur.
Le scanner à plat CIS de 1200 x 2400 points par pouce est secondé d'un lecteur de carte SD et d'un petit écran LCD de contrôle d'une diagonale de 1,44 pouce (3,66 cm). De quoi copier ou imprimer des documents et des photos de façon autonome.
La « Stylus SX230 » premier prix se contente d'une interface USB. Il en existe une variante Wi-Fi, la « SX235W », qui permet de tirer pleinement profit de sa compacité en l'installant n'importe où à condition qu'une prise de courant soit à proximité. Elle est dépourvue de lecteur de carte mémoire et d'écran. La « Stylus SX430 » combine quant à elle les deux dans un même encombrement.
Les « Epson Stylus SX230 » et « SX430W » sont d'ores et déjà commercialisées en France pour des prix allant d'une cinquantaine à une centaine d'euros, ce qui en font des produits de choix pour les étudiants ou les particuliers qui souhaitent imprimer de faibles volumes sans s'encombrer et sans se ruiner.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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