Xigmatek a dévoilé en début de semaine une nouvelle version de son boîtier PC Midgard, qui présente l'intérêt d'embarquer un module de recharge sans fil. Il sera donc possible de recharger simplement son téléphone compatible avec la norme Qi en le posant sur le dessus de la tour.
Encore fallait-il y penser ? Partant du principe que bien souvent, la tour du PC reposait sous le bureau, à côté de l'utilisateur, Xigmatek a pris le parti d'intégrer à son tout récent Midgard III un module de recharge sans fil répondant aux spécifications de la norme Qi, élaborée par le Wireless Consortium. Sous réserve de disposer d'un téléphone compatible (Nexus 4, Nexus 5 ou Lumia 920 par exemple), on pourra donc charger ce dernier le plus simplement du monde, en le posant sur l'avant de la face supérieure de son boîtier.
Pour le reste, le Midgard III se présente comme une tour au format ATX de facture classique, capable d'accueillir jusqu'à sept cartes d'extension, six disques durs ou SSD et trois lecteurs optiques. Il dispose également de nombreux emplacements pour ventilateurs en façade, au dos et sur la face supérieure, avec la possibilité d'intégrer un dispositif de refroidissement liquide (watercooling) dont le radiateur pourra monter jusqu'à 300 mm.
Uniformément noir, il vient accompagné d'un ventilateur 120 mm préinstallé sur la face arrière, et propose une connectique standard associant casque et micro au format jack ainsi que deux USB 3.0 et deux USB 2.0. Ses dimensions s'établissent à 260 x 515 x 409 mm, la tour offrant la possibilité d'installer des cartes graphiques de grande taille (jusqu'à 330 mm) et un dissipateur processeur pouvant atteindre les 160 mm. Arrivée prévue sur le marché dans les prochaines semaines à un prix inférieur à 100 euros.
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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