Le spécialiste européen de la cartographie lance finalement sur iPhone son système de navigation de dernière génération, 3 ans après l'avoir inauguré sur ses appareils TomTom GO et 1 an après l'avoir porté sous forme d'application Android.
TomTom sur iPhone passe au freemium à son tour : l'application est gratuite dans une certaine mesure. Face à Waze, entièrement gratuite mais financée par la publicité, TomTom GO Mobile promet une navigation « premium », avec un service d'information trafic haute précision, équivalent selon les études à celui de Waze, ainsi qu'avec un avertisseur de radars ou de zones de danger (c'est selon) qui est d'après nos constatations plus efficace que celui de Waze, mais un peu moins que celui de Coyote.
Principal point différenciant : la cartographie hors ligne
Techniquement, TomTom GO Mobile se distingue de ses concurrents principalement par sa cartographie hors connexion. Il faut télécharger la carte de son choix sur son mobile. Avantage : on peut profiter des services en ligne avec un petit forfait internet, et naviguer sans connexion, à l'étranger par exemple. Inconvénient : on ne peut pas télécharger de carte à la volée, comme le font Waze ou Coyote, et les cartes de France, d'Europe occidentale et d'Europe pèsent respectivement 1,16 Go, 6,01 Go et 6,82 Go, il faut donc consacrer à TomTom une part importante de la précieuse mémoire de son iPhone.
On peut profiter pleinement de l'application, de sa cartographie mondiale, et tous ses services, gratuitement. La seule limitation de l'offre gratuite est un kilométrage, de 75 km cumulés par mois. Au-delà, il faut souscrire un abonnement d'un an à 20 euros (soit environ 1,70 euro/mois) ou de trois ans à 45 euros (soit 1,25 euro/mois). L'éditeur offre d'ailleurs 3 ans d'abonnement aux possesseurs des applications TomTom Navigation existantes. À titre de comparaison, iCoyote est facturé 12 euros pour un mois, 50 euros pour un an ou 90 euros pour deux ans.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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