Facebook a inauguré cette semaine une nouvelle fonctionnalité devant permettre aux internautes de partager facilement une information ou un lien repéré sur le Web. A la différence du fameux « J'aime », qui fait apparaitre la page associée directement sur le profil de l'utilisateur, ce nouveau bouton baptisé « Envoyer » permet de n'adresser son lien qu'à quelques contacts sélectionnés.
La nouvelle fonction « Envoyer » inaugurée cette semaine par le réseau social se présente à peu de choses près comme le classique bouton « Envoyer par email » que l'on trouve depuis des années sur la plupart des sites média ou marchands du Web. Elle répond à un besoin identique, à savoir signaler l'existence d'un lien ou d'une page Web à une série de contacts que l'on renseignera manuellement. Cette fois, ce n'est toutefois pas leur adresse de courrier électronique qu'il faudra inscrire, mais simplement les premières lettres de leur identité sur Facebook. L'envoi pourra également être adressé à un groupe de contacts.
« Il y a un an, nous avons lancé le bouton j'aime, qui offre un moyen rapide de partager les trouvailles du Web avec tous vos amis, mais il y a des fois où vous trouvez des choses que vous ne souhaitez partager qu'avec quelques personnes bien spécifiques », explique le réseau social.
La fonction Envoyer est pour l'instant mis en avant sur une cinquantaine de sites média partenaires, tels que Le Monde, le Wall Street Journal ou le Huffington Post. A terme, Facebook devrait en proposer l'intégration à tous les sites, comme il l'a fait avec le bouton J'aime, qui s'est rapidement généralisé sur la Toile. De quoi supplanter à terme ce brave vieux courrier électronique, particulièrement chez les jeunes internautes ?
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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