Western Digital a récemment annoncé le lancement en France d'un disque dur multimédia supplémentaire, venant enrichir la famille de dispositifs d'entrée de gamme « Elements ». Le nouveau « WD Elements Play » troque effectivement la connectivité réseau de la famille « WD TV » pour un disque dur interne, et adopte pour l'occasion une esthétique fonctionnelle.
Le « WD Elements Play » abrite donc un disque dur de 1 ou 2 To au format 3,5 pouces. Il offre par ailleurs les mêmes fonctionnalités que ses prédécesseurs, à l'exception naturellement des fonctions en ligne, telle que l'accès à YouTube ou à Picasa Web Albums.
On retrouve tout particulièrement une large prise en charge des formats multimédias les plus répandus, y compris du conteneur MKV embarquant du H.264, une ou plusieurs pistes audio multicanales et des sous-titres. On nous promet en outre, fait suffisamment rare pour être précisé, la prise en charge des menus d'une copie de sauvegarde d'un DVD, à défaut de celle d'un Blu-ray.
Du côté des sorties, l'indispensable HDMI permet de diffuser une image en Full HD 1080p, sans qu'on sache si le 24 fps est de la partie, tandis qu'une SPDIF optique permet de diffuser du son multicanal vers un amplificateur externe. Des sorties analogiques permettent également de profiter du dispositif sur des équipements moins récents, dans un logement de vacances par exemple.
Le WD Elements Play est d'ores et déjà commercialisé en France aux prix respectifs de 200 et 260 euros en capacité de 1 et 2 To.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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