La Transformer 3 Pro reprend le format 12,6 pouces de la Transformer Chi T300, ainsi que son design, avec notamment la coque en aluminium. Légèrement plus mince que la tablette de Microsoft (6,9 mm), celle d'Asus propose également un écran qui remporte (de peu) le match de la résolution (2 880 x 1 920 pixels, et donc 275 ppp contre 267 pour la Surface Pro 4) et celui de la puissance sonore (96 dB contre 90).
Vous l'aurez compris, Asus a décidé de marcher sur les plates-bandes de Microsoft en l'attaquant sur les caractéristiques comme sur le prix, puisque la Transformer 3 Pro est vendue 999 dollars avec son stylet et son clavier / couverture (avec un choix relativement important de coloris).
Asus a également dévoilé sa Transformer 3, dont les caractéristiques sont très similaires avec la Transformer 3 Pro : seul manque à l'appel le stylet et, alors que la version Pro peut embarquer 16 Go de RAM, la Transformer 3 n'en compte « que » 8.
Pour le reste, on trouve sur ces hybrides quatre enceintes signées Hardman Kardon et une prise Thunderbolt 3 et une USB Type-C, ainsi qu'une sortie HDMI. Notez qu'Asus a prévu de vendre en option un hub avec « toutes les connections dont vous pouvez avoir besoin ».
Un effort semble avoir été mené autour de l'ergonomie, avec un large touchpad (104 x 60 mm) qui dispose d'un accès direct à Windows Hello, et un clavier dont les touches profitent d'une course de 1,4 mm.
Les composants diffèrent légèrement selon la version : les Core i7 sont disponibles dans les deux cas, mais les 16 Go de RAM et le SSD 1 To en PCI-E 4x Gen. 3 ne sont présents que sur la version Pro (8 Go de mémoire et 512 Go sans PCI-E sur la Transformer 3). Conséquence : un ticket d'entrée moins élevé pour la Transformer 3, qui débute à 799 dollars.
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Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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