Crucial a annoncé hier et immédiatement mis en vente la déclinaison mSATA de son best seller. Le nouvel SSD « Crucial m4 mSATA » se destine principalement aux Ultrabooks ou assimilés mais il peut également servir aux ordinateurs de bureau.
Les SSD au format mSATA se présentent pour rappel sous la forme d'un circuit imprimé nu à enficher directement aux cartes mères. Ils sont ainsi huit fois moins encombrants que les SSD et disques durs conventionnels au format 2,5 pouces, et ce sans faire la moindre concession.
Le « m4 mSATA » repose effectivement sur le même contrôleur Marvell 88SS9174, prenant en charge le Serial ATA à 6 Gb/s, et les mêmes puces de mémoire Flash NAND MLC synchrones de Micron.
Il offre donc logiquement les mêmes performances que son aîné avec le dernier micrologiciel. Il revendique ainsi 500 Mo/s et 45 000 IOPS en lecture séquentielle et aléatoire quelle que soit la capacité. En écriture, les performances varient de nouveau en fonction de la capacité :
32 Go : non communiquées
64 Go : 95 Mo/s et 20 000 IOPS
128 Go : 175 Mo/s et 35 000 IOPS
256 Go : 260 Mo/s et 50 000 IOPS
Il peut donc servir de support de stockage principal, en particulier dans les Ultrabooks dans lesquels l'espace est restreint, mais aussi de mémoire tampon pour les fichiers les plus utilisés de tous types d'ordinateurs, au travers de la solution Smart Response Technology (SRT) d'Intel ou Dataplex de l'éditeur Nvelo.
Le SSD « Crucial m4 mSATA » est disponible dès à présent en France. Décliné en capacités de 32, 64, 128 et 256 Go, il est vendu aux prix publics respectifs de 43, 66, 100 et 195 euros, soit jusqu'à près de 75 centimes d'euro le gigaoctet.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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