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Les studios jouent-ils un rôle déterminant dans la bataille que se livrent les deux formats concurrents ? A partir de chiffres fournis par Nielsen VideoScan, les studios hollywoodiens et son département recherche, Home Media Magazine s'estime en mesure d'affirmer que 70% des films encodés en haute définition vendus sur le premier trimestre de l'année 2007 aux Etats-Unis étaient édités sur des disques au format Blu-ray.
Entre le premier jour de l'année et le 31 mars, les consommateurs américains auraient acheté près de 1,2 million de disques haute définition, dont 832.530 disques Blu-ray et 359.300 disques HD DVD. Le format défendu par Toshiba, qui disposait d'une certaine longueur d'avance puisqu'il a été lancé sur le marché un mois plus tôt, aurait été rattrapé par le Blu-ray. Les ventes totales de films HD se monteraient en effet à plus de 2,14 millions de disques, dont 1,2 million de Blu-ray et 937.500 HD DVD.
Toujours d'après Home Media Magazine, huit des dix plus importantes ventes de films haute définition sont éditées sur des disques Blu-ray. La palme revient au dernier James Bond, Casino Royale, vendu à près de 60.000 exemplaires sur le mois de mars. Vient ensuite, en deuxième position, l'édition Blu-ray du film The Departed, devant l'édition HD DVD de ce même film.
Ces chiffres restent toutefois anecdotiques si l'on décide de les comparer aux ventes de DVD. Ainsi, le film d'animation Happy Feet s'est-il vendu à quatre millions d'exemplaires sur la seule dernière semaine de mars. Quoi qu'en pensent les industriels de l'électronique grand public, le DVD ne semble donc pas encore prêt à rendre l'âme.
Cinq des six principaux studios hollywoodiens ont choisi d'éditer leurs films sur Blu-ray, alors que trois seulement sur les six utilisent le HD DVD. Aujourd'hui, seul Universal accorde ses faveurs exclusives au HD DVD alors que Buena Vista, 20th Century Fox et Sony Pictures ne jurent que par le Blu-ray. La semaine dernière, les partisans du HD DVD emmenés par Toshiba annonçaient que plus de 100.000 lecteurs de salon HD DVD ont déjà été vendus aux Etats-Unis.
Entre le premier jour de l'année et le 31 mars, les consommateurs américains auraient acheté près de 1,2 million de disques haute définition, dont 832.530 disques Blu-ray et 359.300 disques HD DVD. Le format défendu par Toshiba, qui disposait d'une certaine longueur d'avance puisqu'il a été lancé sur le marché un mois plus tôt, aurait été rattrapé par le Blu-ray. Les ventes totales de films HD se monteraient en effet à plus de 2,14 millions de disques, dont 1,2 million de Blu-ray et 937.500 HD DVD.
Toujours d'après Home Media Magazine, huit des dix plus importantes ventes de films haute définition sont éditées sur des disques Blu-ray. La palme revient au dernier James Bond, Casino Royale, vendu à près de 60.000 exemplaires sur le mois de mars. Vient ensuite, en deuxième position, l'édition Blu-ray du film The Departed, devant l'édition HD DVD de ce même film.
Ces chiffres restent toutefois anecdotiques si l'on décide de les comparer aux ventes de DVD. Ainsi, le film d'animation Happy Feet s'est-il vendu à quatre millions d'exemplaires sur la seule dernière semaine de mars. Quoi qu'en pensent les industriels de l'électronique grand public, le DVD ne semble donc pas encore prêt à rendre l'âme.
Cinq des six principaux studios hollywoodiens ont choisi d'éditer leurs films sur Blu-ray, alors que trois seulement sur les six utilisent le HD DVD. Aujourd'hui, seul Universal accorde ses faveurs exclusives au HD DVD alors que Buena Vista, 20th Century Fox et Sony Pictures ne jurent que par le Blu-ray. La semaine dernière, les partisans du HD DVD emmenés par Toshiba annonçaient que plus de 100.000 lecteurs de salon HD DVD ont déjà été vendus aux Etats-Unis.
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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