Apple préparerait une métamorphose étalée sur trois ans, avec des changements visibles chaque génération d’iPhone, du dos aux capteurs en façade jusqu’à l’écran « plein » sans aucune découpe, selon plusieurs rapports concordants. Des analystes nuancent toutefois le calendrier et repoussent l’objectif d’un affichage totalement intégré vers la fin de la décennie.

- L’iPhone 17 inaugurerait un dos repensé avec un bloc photo horizontal, première étape d’une refonte en trois ans.
- Les générations suivantes viseraient à déplacer Face ID et la caméra sous l’écran, passant d’une Dynamic Island à un punch-hole puis sous-dalle.
- Objectif final : un écran « plein » sans découpe — certaines sources parlent de 2027, d’autres repoussent à 2030.
Après le passage de l’encoche à la « Dynamic Island », la prochaine phase s’annoncerait progressive et continue, génération par génération. Une nouvelle roadmap placerait l’iPhone 17 en point de départ, avec une refonte du module photo, avant de déplacer puis d’« enterrer » des capteurs sous l’écran. Mais les sources ne s’accordent pas toutes sur les échéances, certaines prévoyant un horizon 2027 et d’autres un cap plutôt situé autour de 2030.
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Trois ans de mues
Selon des informations issues de la chaîne d'approvisionnement et reprises par la presse spécialisée, l’iPhone 17 inaugurerait un nouveau dos avec un bloc photo horizontal, première étape d’une refonte par couches successives. Ce changement marquerait la première évolution majeure du module arrière depuis l’iPhone 11 Pro, avec la possibilité que l’ampleur varie entre modèles, sans certitude sur un périmètre « Pro » exclusif. Des briefings récents laissent entendre que cette bascule ouvrirait un cycle de trois ans de transformations, confirmant une stratégie par paliers.
La deuxième phase viserait la façade, avec l’abandon de la « Dynamic Island » au profit d’un simple orifice punch-hole pour la caméra, tandis que l’attirail de Face ID passerait sous la dalle via des technologies under-display. Dans ce schéma, l’objectif serait de réduire l’empreinte visuelle en façade sans sacrifier l’authentification, la partie la plus délicate étant la fiabilité des capteurs et la qualité photo derrière des pixels actifs. Historiquement, Apple a d’abord réservé ces bascules aux modèles haut de gamme avant diffusion à la gamme standard, un précédent qui cadre avec cette étape.
Point d’orgue pressenti, 2027 viserait un écran sans encoche ni trou, avec caméra frontale et Face ID entièrement dissimulés, pour un affichage dit full-screen. Le gain de surface utile serait maximal, mais dépend d’avancées sur la transparence locale de la dalle, l’algorithme de reconstruction d’image et la robustesse de l’infrarouge sous écran. Ce scénario représente l’aboutissement annoncé de la séquence, même si son atterrissage précis reste discuté.
Des visions qui divergent sur le tempo
Plusieurs voix réputées contestent l’échéancier agressif et évoquent plutôt une « mini » Dynamic Island en 2026, avant une migration complète des capteurs étalée jusqu’à la décennie suivante. Dans cette lecture, l’iPhone « plein écran » interviendrait plutôt vers 2030, le temps de fiabiliser l’optique sous dalle et de maintenir une qualité selfie et Face ID au niveau attendu. Ces divergences reflètent la complexité d’industrialiser des caméras et capteurs invisibles en préservant performances et rendements.
La « Dynamic Island », apparue sur les modèles Pro avant d’être étendue à la gamme, illustre la méthode maison : tester, roder, généraliser. Les changements à venir pourraient suivre le même pattern, avec une première salve réservée aux modèles premium pour amortir les coûts et ajuster la chaîne de production. Cela expliquerait des écarts perçus entre rumeurs « Pro-only » et annonces plus globales.
Sur le plan stratégique, une cadence de trois ans crée des jalons clairs, entretient l’intérêt du cycle de renouvellement et permet d’étaler risques et investissements. Elle offre aussi des points d’ancrage marketing sans gestes trop brutaux, tout en gardant l’option d’introduire des nouveautés différenciantes sur le très haut de gamme. Le pari repose sur une exécution régulière malgré les contraintes d’approvisionnement et les défis de l’affichage « sous dalle ».
Source : Neowin