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En plein bras de fer avec Microsoft, la commission européenne a néanmoins trouvé le temps d'accepter le projet de fusion entre Oracle et Siebel
Favoritisme ? En plein bras de fer avec Microsoft, à qui elle reproche de ne pas se conformer à ses décisions, la commission européenne a néanmoins trouvé le temps d'accepter le projet de fusion entre Oracle et Siebel.
Quelques mois après son épuisante OPA contre PeopleSoft, Oracle a en effet décidé de racheter pour près de 6 milliards de dollars un autre grand nom de l'informatique de gestion : Siebel.
Spécialisé dans les progiciels de gestion de la relation client et d'aide à la décision, Siebel ne devrait toutefois pas permettre à Oracle de contester à l'allemand son actuel leadership sur le marché des ERP. Oracle mise en tout cas sur les synergies entre ses différentes activités et attend une hausse de 20% de ses bénéfices à moyen terme.
Favoritisme ? En plein bras de fer avec Microsoft, à qui elle reproche de ne pas se conformer à ses décisions, la commission européenne a néanmoins trouvé le temps d'accepter le projet de fusion entre Oracle et Siebel.
Quelques mois après son épuisante OPA contre PeopleSoft, Oracle a en effet décidé de racheter pour près de 6 milliards de dollars un autre grand nom de l'informatique de gestion : Siebel.
Spécialisé dans les progiciels de gestion de la relation client et d'aide à la décision, Siebel ne devrait toutefois pas permettre à Oracle de contester à l'allemand son actuel leadership sur le marché des ERP. Oracle mise en tout cas sur les synergies entre ses différentes activités et attend une hausse de 20% de ses bénéfices à moyen terme.
