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Les négociations entre la Ville de Paris et les opérateurs français de téléphonie mobile, à propos de l'implantation d'antennes-relais, ont enfin débouché sur la signature d'une Charte.
Bertrand DELANOE, maire de la capitale, Didier QUILLOT, Directeur général d'Orange France, Pierre BARDON, DG de SFR, et Gilles PELISSON, DG de Bouygues Telecom, ont signé jeudi 20 mars 2003 ce document à l'Hôtel de Ville.
L'Association française des opérateurs mobiles (AFOM) précise dans un communiqué que cette Charte "ne révise ni le fondement, ni les seuils du décret du 3 mai 2002 fixant les seuils réglementaires d'exposition du public aux champs électromagnétiques des antennes-relais et des équipements de radio et télédiffusion."
Trois dispositions majeures ont été adoptées par la Ville et les opérateurs :
Les deux partenaires veulent mieux intégrer les antennes-relais dans le paysage parisien (élaboration d'un protocole d'intégration environnementale dans un délai de trois mois).
Paris et les opérateurs mobiles souhaitent également mieux encadrer par le biais de la création d'une Commission de concertation, et mieux informer les maires d'arrondissement, les CICA - Comités d'initiative et de consultation des arrondissements, et la population concernée par les niveaux de champs électromagnétiques au voisinage des antennes-relais.
Pour ce faire, les résultats des mesures effectuées chaque année dans 300 lieux de vie et 300 établissements particuliers, seront communiqués à la Commission de concertation et mis en ligne sur le site de l'Agence nationale des fréquences (www.anfr.fr)
Enfin, Paris et les trois opérateurs mobiles français veulent garantir aux Parisiens un niveau faible d'exposition, "tenant compte du développement de la téléphonie mobile, y compris celui de l'UMTS."
Les opérateurs devront communiquer à la Commission les dispositions susceptibles de réduire le niveau moyen d'exposition sur 24 heures "dès lors que celui-ci excéderait l'objectif de la Ville de Paris de 2 V/méquivalent 900 MHz dans un lieu donné."
Bertrand DELANOE, maire de la capitale, Didier QUILLOT, Directeur général d'Orange France, Pierre BARDON, DG de SFR, et Gilles PELISSON, DG de Bouygues Telecom, ont signé jeudi 20 mars 2003 ce document à l'Hôtel de Ville.
L'Association française des opérateurs mobiles (AFOM) précise dans un communiqué que cette Charte "ne révise ni le fondement, ni les seuils du décret du 3 mai 2002 fixant les seuils réglementaires d'exposition du public aux champs électromagnétiques des antennes-relais et des équipements de radio et télédiffusion."
Trois dispositions majeures ont été adoptées par la Ville et les opérateurs :
Les deux partenaires veulent mieux intégrer les antennes-relais dans le paysage parisien (élaboration d'un protocole d'intégration environnementale dans un délai de trois mois).
Paris et les opérateurs mobiles souhaitent également mieux encadrer par le biais de la création d'une Commission de concertation, et mieux informer les maires d'arrondissement, les CICA - Comités d'initiative et de consultation des arrondissements, et la population concernée par les niveaux de champs électromagnétiques au voisinage des antennes-relais.
Pour ce faire, les résultats des mesures effectuées chaque année dans 300 lieux de vie et 300 établissements particuliers, seront communiqués à la Commission de concertation et mis en ligne sur le site de l'Agence nationale des fréquences (www.anfr.fr)
Enfin, Paris et les trois opérateurs mobiles français veulent garantir aux Parisiens un niveau faible d'exposition, "tenant compte du développement de la téléphonie mobile, y compris celui de l'UMTS."
Les opérateurs devront communiquer à la Commission les dispositions susceptibles de réduire le niveau moyen d'exposition sur 24 heures "dès lors que celui-ci excéderait l'objectif de la Ville de Paris de 2 V/méquivalent 900 MHz dans un lieu donné."