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La Commission européenne et la présidence grecque présenteront les premiers résultats "d'un exercice d'étalonnage des performances des politiques de recherche et développement au sein de l'UE", lors d'une conférence de deux jours qui débutera vendredi à Athènes.
L'exécutif européen a précisé jeudi sur le portail Europa (http://europa.eu.int) qu'une telle analyse "contribue à la création de l'Espace européen de la recherche".
L'objectif est de : évaluer les ressources humaines consacrées à la recherche et au développement technologique (RDT), estimer l'investissement public et privé dans la recherche, préciser l'impact de la recherche sur la compétitivité et l'emploi, la productivité scientifique et technologique.
"L'étalonnage des performances permet de tirer des enseignements des comparaisons", a rappelé Philippe BUSQUIN, Commissaire européen chargé de la recherche.
M.BUSQUIN soutient que cette analyse pourra aider les Etats membres à améliorer leurs politiques de recherche par le biais de "l'échange d'informations et l'apprentissage réciproque" (inventaire et diffusion des meilleures pratiques).
Par ailleurs, l'application de la "méthode ouverte de coordination" volontaire peut "jouer un rôle capital en faisant augmenter le volume des investissements porteurs de croissance".
Mais à l'heure actuelle, le niveau des investissements en R&D et leur croissance sont trop faibles pour "faire de l'économie de l'UE, l'économie fondée sur la connaissance la plus dynamique d'ici à 2010" (objectif fixé par le Conseil européen de Lisbonne en mars 2000). Cette insuffisance est due principalement au secteur privé.
Parmi les exemples encourageants : des groupements de recherche "qui fonctionnent bien" en Finlande et des politiques de R&D "efficaces" en Autriche.
Les résultats de la conférence d'Athènes des 17 et 18 janvier alimenteront le prochain cycle d'étalonnage des performances en recherche et développement des pays membres de l'UE.
L'exécutif européen a précisé jeudi sur le portail Europa (http://europa.eu.int) qu'une telle analyse "contribue à la création de l'Espace européen de la recherche".
L'objectif est de : évaluer les ressources humaines consacrées à la recherche et au développement technologique (RDT), estimer l'investissement public et privé dans la recherche, préciser l'impact de la recherche sur la compétitivité et l'emploi, la productivité scientifique et technologique.
"L'étalonnage des performances permet de tirer des enseignements des comparaisons", a rappelé Philippe BUSQUIN, Commissaire européen chargé de la recherche.
M.BUSQUIN soutient que cette analyse pourra aider les Etats membres à améliorer leurs politiques de recherche par le biais de "l'échange d'informations et l'apprentissage réciproque" (inventaire et diffusion des meilleures pratiques).
Par ailleurs, l'application de la "méthode ouverte de coordination" volontaire peut "jouer un rôle capital en faisant augmenter le volume des investissements porteurs de croissance".
Mais à l'heure actuelle, le niveau des investissements en R&D et leur croissance sont trop faibles pour "faire de l'économie de l'UE, l'économie fondée sur la connaissance la plus dynamique d'ici à 2010" (objectif fixé par le Conseil européen de Lisbonne en mars 2000). Cette insuffisance est due principalement au secteur privé.
Parmi les exemples encourageants : des groupements de recherche "qui fonctionnent bien" en Finlande et des politiques de R&D "efficaces" en Autriche.
Les résultats de la conférence d'Athènes des 17 et 18 janvier alimenteront le prochain cycle d'étalonnage des performances en recherche et développement des pays membres de l'UE.
