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DoCoMo annonce qu'il maintient son objectif de 1,38 M d'abonnés 3G au Japon d'ici mars 2003, et qu'il veut créer une holding dédiée à l'i-mode en Europe.
Le premier opérateur de téléphonie mobile nippon, NTT DoCoMo, maintient son objectif de 1,38 million d'abonnés japonais à son service 3G d'ici mars 2003.
Lancé en octobre 2001, le service de téléphonie mobile de troisième génération de DoCoMo a connu un démarrage plutôt difficile. Le service baptisé FOMA (Freedom of mobile multimedia access) est basé sur la norme Wideband CDMA, ses débits vont de 64 kbit/s à 384 kbit/s.
Outre l'accès à Internet depuis un mobile, des options sophistiquées comme la vidéo-conférence sont proposées. Mais, le service FOMA ne couvre que Tokyo, Osaka et Nagoya. La couverture nationale est prévue pour 2006/2007.
En mai 2002, le Japon comptait seulement 90 000 abonnés au service FOMA, soit 60% de l'objectif de DoCoMo. Comment expliquer ce manque d'intérêt des mobinautes japonais ?
D'après une étude réalisée par Biztech en avril dernier, les Japonais seront plus nombreux à s'abonner à la 3G lorsque "les frais du service, le prix du terminal et les spécifications (taille du dispositif et autonomie de la batterie) se rapprocheront du niveau du réseau i-mode".
Le mot est lâché ! A l'heure actuelle, l'i-mode reste le service d'Internet mobile le plus populaire de DoCoMo au Japon avec ses 33 millions d'abonnés.
Fort de ce succès, DoCoMo travaille au développement international de son i-mode auprès d'opérateurs à Taiwan, aux Pays Bas, en Allemagne, en France, et plus récemment en Espagne où Moviles pourra lui aussi exploiter sous licence cette technologie.
Norme propriétaire qui qualifie une marque et un service et non un protocole, l'i-mode utilise un réseau cellulaire numérique de seconde génération (norme PDC), le débit maximal est limité à 9,6Kbits/s.
Mardi DoCoMo a fait savoir qu'il allait installer une holding en Europe pour promouvoir l'i-mode sur le continent. En septembre, sa filiale londonienne deviendra quartier général sous le nom de DoCoMo Europe.
Le premier opérateur de téléphonie mobile nippon, NTT DoCoMo, maintient son objectif de 1,38 million d'abonnés japonais à son service 3G d'ici mars 2003.
Lancé en octobre 2001, le service de téléphonie mobile de troisième génération de DoCoMo a connu un démarrage plutôt difficile. Le service baptisé FOMA (Freedom of mobile multimedia access) est basé sur la norme Wideband CDMA, ses débits vont de 64 kbit/s à 384 kbit/s.
Outre l'accès à Internet depuis un mobile, des options sophistiquées comme la vidéo-conférence sont proposées. Mais, le service FOMA ne couvre que Tokyo, Osaka et Nagoya. La couverture nationale est prévue pour 2006/2007.
En mai 2002, le Japon comptait seulement 90 000 abonnés au service FOMA, soit 60% de l'objectif de DoCoMo. Comment expliquer ce manque d'intérêt des mobinautes japonais ?
D'après une étude réalisée par Biztech en avril dernier, les Japonais seront plus nombreux à s'abonner à la 3G lorsque "les frais du service, le prix du terminal et les spécifications (taille du dispositif et autonomie de la batterie) se rapprocheront du niveau du réseau i-mode".
Le mot est lâché ! A l'heure actuelle, l'i-mode reste le service d'Internet mobile le plus populaire de DoCoMo au Japon avec ses 33 millions d'abonnés.
Fort de ce succès, DoCoMo travaille au développement international de son i-mode auprès d'opérateurs à Taiwan, aux Pays Bas, en Allemagne, en France, et plus récemment en Espagne où Moviles pourra lui aussi exploiter sous licence cette technologie.
Norme propriétaire qui qualifie une marque et un service et non un protocole, l'i-mode utilise un réseau cellulaire numérique de seconde génération (norme PDC), le débit maximal est limité à 9,6Kbits/s.
Mardi DoCoMo a fait savoir qu'il allait installer une holding en Europe pour promouvoir l'i-mode sur le continent. En septembre, sa filiale londonienne deviendra quartier général sous le nom de DoCoMo Europe.
