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A moins d'un mois du premier tour de l'élection présidentielle, les instituts de sondage s'activent, et pas uniquement pour diffuser des intentions de vote qui, comme lors de toutes les grands messes électorales, feront couler beaucoup d'encre...
Moins polémiques, les résultats d'un sondage réalisé par l'institut Louis Harris à la demande d'AOL France les 5, 6, 15 et 16 février derniers auprès d'un échantillon «représentatif» de 2 007 personnes, parmi lesquelles 750 internautes.
D'après ce sondage, 48% des internautes français interrogés souhaiteraient pouvoir voter en ligne. Mais ils ne sont que 28% sur l'ensemble de l'échantillon concerné (internautes et non-internautes) à être favorables au vote en ligne, c'est peu...
Le vote en ligne ne remplace pas, en tout cas à l'heure actuelle, le vote traditionnel dans l'isoloir d'une mairie ou d'une école, sans doute n'est-ce pas souhaitable. De plus en France le "e-vote" reste en phase d'expérimentation.
780 électeurs de la commune girondine de Mérignac, 65 000 habitants, et 730 électeurs de Vandoeuvre-les-Nancy, 33 000 habitants, en Meurthe-et-Moselle, en feront l'expérience lors de l'élection présidentielle pour les premiers, les seconds durant les législatives.
France Télécom précise dans un communiqué qu'ils seront les premiers à "voter électroniquement [...] à l'aide du système e-poll".
Ce test doit valider "la simplicité d'utilisation, la fiabilité technique et les nouveaux usages" du système. Les électeurs concernés par cette expérience devront donc également voter de façon traditionnelle. Le vote électronique n'a toujours pas en France de statut légal.
Ce qui est intéressant en règle général, c'est d'avoir le choix entre plusieurs options solides par exemple l'isoloir ou le vote en ligne.
Visiblement, une majorité de personnes concernées par ce sondage ne semble pas du même avis, et pourtant 42% d'entre elles, 46% pour les seuls internautes, y voient un moyen de réduire l'abstention...
Moins polémiques, les résultats d'un sondage réalisé par l'institut Louis Harris à la demande d'AOL France les 5, 6, 15 et 16 février derniers auprès d'un échantillon «représentatif» de 2 007 personnes, parmi lesquelles 750 internautes.
D'après ce sondage, 48% des internautes français interrogés souhaiteraient pouvoir voter en ligne. Mais ils ne sont que 28% sur l'ensemble de l'échantillon concerné (internautes et non-internautes) à être favorables au vote en ligne, c'est peu...
Le vote en ligne ne remplace pas, en tout cas à l'heure actuelle, le vote traditionnel dans l'isoloir d'une mairie ou d'une école, sans doute n'est-ce pas souhaitable. De plus en France le "e-vote" reste en phase d'expérimentation.
780 électeurs de la commune girondine de Mérignac, 65 000 habitants, et 730 électeurs de Vandoeuvre-les-Nancy, 33 000 habitants, en Meurthe-et-Moselle, en feront l'expérience lors de l'élection présidentielle pour les premiers, les seconds durant les législatives.
France Télécom précise dans un communiqué qu'ils seront les premiers à "voter électroniquement [...] à l'aide du système e-poll".
Ce test doit valider "la simplicité d'utilisation, la fiabilité technique et les nouveaux usages" du système. Les électeurs concernés par cette expérience devront donc également voter de façon traditionnelle. Le vote électronique n'a toujours pas en France de statut légal.
Ce qui est intéressant en règle général, c'est d'avoir le choix entre plusieurs options solides par exemple l'isoloir ou le vote en ligne.
Visiblement, une majorité de personnes concernées par ce sondage ne semble pas du même avis, et pourtant 42% d'entre elles, 46% pour les seuls internautes, y voient un moyen de réduire l'abstention...
