TerraTec complète aujourd'hui sa gamme pléthorique de dispositifs multimédias de son tout premier lecteur multimédia. Le nouveau « Noxon M520 » s'invite sur ce marché plus que jamais concurrentiel sans s'y démarquer particulièrement. Il offre effectivement une prise en charge des formats dans la moyenne et se différencie principalement par son boitier élégant en aluminium brossé.
Le « TerraTec Noxon M520 » est un lecteur multimédia dépourvu de disque dur interne, destiné à lire des contenus depuis un périphérique de stockage externe ou depuis le réseau local (mais pas depuis Internet). Il dispose pour ce faire de deux ports USB 2.0 (dont un latéral), d'un lecteur de carte mémoire SD ou SDHC et d'un port Ethernet à 100 Mbps (le Gigabit n'étant réellement utile que pour une fonction NAS). Un adaptateur USB optionnel peut néanmoins lui apporter le Wi-Fi N.
Le décodage du DTS pour les petites installations non-home cinema
Il prend en charge la plupart des formats répandus du moment, à l'exception des véritables copies de sauvegarde de Blu-ray avec leurs menus, que certains concurrents commencent à proposer pour apporter une plus-value bienvenue. À défaut, il présente toutefois l'intérêt de décoder le Dolby Digital (AC3) mais aussi le DTS, que bon nombre de modèles se contentent encore de transmettre sans autre forme de procès, ce qui les rend muets chez ceux qui n'ont que un téléviseur. On retrouve par ailleurs l'indispensable prise en charge du H.264 dans les conteneurs MKV et M2TS, ainsi que la prise en charge d'images ISO de DVD.
Le panneau arrière présente enfin une sortie HDMI, des sorties vidéo analogiques composite et composante (câbles tous trois fournis), une sortie audio numérique optique (SPDIF) et une sortie audio analogique. L'alimentation de ce boîtier de 190 x 125 x 48 mm de 600 g repose sur un bloc d'alimentation externe.
Le « TerraTec Noxon M520 » est disponible dès à présente en France au prix public, de nouveau dans la moyenne, de 150 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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