En marge de l'annonce d'un prometteur compact expert, Samsung profite également de la PMA pour des annonces moins sensationnelles qui répondent toutefois aux besoins du grand public. Le coréen renouvelle ainsi un de ses modèles phares mais se lance aussi sur le segment des baroudeurs.
Samsung WB2000
Successeur du WB1000 lancé à l'occasion de la PMA précédente, le Samsung WB2000 succède ainsi au WB1000 et hérite tout particulièrement des fameuses jauges analogiques qui, en plus d'apporter une touche rétro à cet appareil photo, offrent une indication précise de l'autonomie restante. Les améliorations affectent principalement la capture.
Une fois n'est pas coutume, d'un capteur CCD à 12 millions de pixels, on passe à un capteur CMOS à 10 millions de pixels. Celui-ci photographie en RAW et filme en Full HD (1920 x 1080 pixels), contrairement à son prédécesseur. Il peut d'ailleurs faire les deux en même temps. Les hautes cadences sont à l'honneur puisqu'il peut photographier en rafale à 10 images par seconde, en pleine définition, et filmer à 1 000 images par seconde, dans une définition non précisée.
Il reprend par ailleurs le zoom 5 fois équivalent à un 24-120 mm et l'écran AMOLED de 3 pouces à 614 000 points de son prédécesseur.
Samsung WP10
Le Samsung WP10 seconde quant à lui le Sony TX5 au rang des baroudeurs ultracompacts. Il est en revanche bien plus modeste puisqu'il se contente d'être étanche jusqu'à 3 mètres, sans résister aux chocs ou au froid. Son zoom 5 fois équivalent à un 36-180 mm manque quant à lui cruellement de recul, bien qu'il abrite un honorable capteur CCD de 12 millions de pixels qui filme en HD 720p. Son écran LCD de 2,7 pouces à 230 000 points donne accès à une ergonomie adaptée au grand public avec de nombreux automatismes dits intelligents.
Les Samsung WB2000 et WP10 seront prochainement lancés au Royaume-Uni pour respectivement 330 et 180 livres, soit 375 et 200 euros. Leur date de lancement et leur prix public en France n'ont pas encore été communiqués.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
