Nokia vient d'annoncer qu'il commercialisera finalement le « Lumia 510 » en France.
Annoncé fin octobre, le « Nokia Lumia 510 » est résolument un Windows Phone d'entrée de gamme. Il n'était jusqu'à présent commercialisé que dans les pays émergents, probablement pour laisser le champ libre au convaincant Lumia 620 dans les pays développés. Il propose néanmoins un prix encore un peu plus bas pour ceux qui sont prêts à faire quelques lourdes concessions.
Le Nokia Lumia 510 dispose d'une coque interchangeable
Le « Nokia Lumia 510 » présente effectivement l'inconvénient de reposer sur Windows Phone 7.8, ce qui en fait d'office un smartphone de précédente génération, privé de certaines des innovations bienvenues de Windows Phone 8, dont il ne bénéficiera jamais.
Le terminal dispose quoi qu'il en soit d'un écran LCD de 4 pouces affichant une définition WVGA (800 x 480 pixels), d'un SoC Qualcomm Snapdragon S1 sans plus de précision, de 256 Mo de mémoire vive, de seulement 4 Go de mémoire interne (sans possibilité d'extension), d'un capteur dorsal à 5 millions de pixels, dépourvu de LED, et d'une connectivité comprenant 3G, Wi-Fi N et Bluetooth.
Vendu 200 euros nu, le « Nokia Lumia 510 » est certes très abordable, à peine plus cher que certains téléphones mobiles non smartphones nus. Mais pour à peine 50 euros ou 25 % de plus, le Nokia Lumia 620 offre un rapport prix/prestation autrement plus intéressant. Attention donc à acheter en connaissance de cause.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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