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Sundar Pichai a fait savoir mardi sur Google + que l'OS Android avait franchi le cap du milliard d'activations. Un cap symbolique, qui marque sa domination sur le marché des smartphones et des tablettes.
C'est un cap symbolique que vient de passer Google avec son OS Android. Tous terminaux confondus, il a en effet avoir dépassé le milliard d'activations, un an tout juste après avoir dépassé le demi-milliard.
Ce chiffre, Google le doit d'abord à sa domination sans partage sur les systèmes d'exploitation pour mobile et tablettes. Pour les OS mobiles, il détenait près de 80% de parts de marché au deuxième trimestre de l'année. Loin devant Apple et ses 13,2% de parts de marché sur la période.
La tendance est d'ailleurs sensiblement la même sur le marché des tablettes, un segment sur lequel il a obtenu une croissance de 87% sur un an au deuxième trimestre, avec 67% de parts de marché, selon les statistiques du cabinet Strategy Analytics.
Android n'est pas l'OS le plus homogène. Ses concurrents pointent souvent du doigt sa très forte fragmentation, alimentée par les mises à jour successives des différentes versions. Sur ce point, Rich Miner, co-fondateur de l'entreprise Android rachetée par Google en 2007, avait déclaré en juillet dernier qu'il s'agissait en réalité d'un faux problème. Il mettait en avant le fait que la très large diffusion de l'OS et son exploitation par de nombreux fabricants rend inéluctable la tendance.
D'après les dernières informations publiées par la firme de Mountain View, Jelly Bean, la dernière version en date de l'OS (4.1 et 4.2) représente désormais 40,5% des parts de marché Android. Ce qui le place désormais assez nettement en tête, devant Gingerbread (33,1%) et Ice Cream sandwich (22,5%). En attendant, évidemment, Android 4.4, dont le nom de code a été dévoilé hier, publié sur un site retraçant l'historique des différentes versions. Android 4.4 s'appelle donc désormais KitKat.
C'est un cap symbolique que vient de passer Google avec son OS Android. Tous terminaux confondus, il a en effet avoir dépassé le milliard d'activations, un an tout juste après avoir dépassé le demi-milliard.
Ce chiffre, Google le doit d'abord à sa domination sans partage sur les systèmes d'exploitation pour mobile et tablettes. Pour les OS mobiles, il détenait près de 80% de parts de marché au deuxième trimestre de l'année. Loin devant Apple et ses 13,2% de parts de marché sur la période.
La tendance est d'ailleurs sensiblement la même sur le marché des tablettes, un segment sur lequel il a obtenu une croissance de 87% sur un an au deuxième trimestre, avec 67% de parts de marché, selon les statistiques du cabinet Strategy Analytics.
Android n'est pas l'OS le plus homogène. Ses concurrents pointent souvent du doigt sa très forte fragmentation, alimentée par les mises à jour successives des différentes versions. Sur ce point, Rich Miner, co-fondateur de l'entreprise Android rachetée par Google en 2007, avait déclaré en juillet dernier qu'il s'agissait en réalité d'un faux problème. Il mettait en avant le fait que la très large diffusion de l'OS et son exploitation par de nombreux fabricants rend inéluctable la tendance.
D'après les dernières informations publiées par la firme de Mountain View, Jelly Bean, la dernière version en date de l'OS (4.1 et 4.2) représente désormais 40,5% des parts de marché Android. Ce qui le place désormais assez nettement en tête, devant Gingerbread (33,1%) et Ice Cream sandwich (22,5%). En attendant, évidemment, Android 4.4, dont le nom de code a été dévoilé hier, publié sur un site retraçant l'historique des différentes versions. Android 4.4 s'appelle donc désormais KitKat.
