Intel Capital, fonds d'investissement du numéro un mondial des semiconducteurs, vient d'annoncer avoir investi dirigé un tour de table portant sur un montant de 13 millions de dollars destiné à a société française spécialiste de la robotique Aldebaran Robotics.
Intel Capital rejoint les fonds CDC Innovation, I-Source et CA Private Equity au capital de la société française Aldberan Robotics, spécialisée dans la conception de robots humanoïdesk, en ayant pris la tête d'un tour de table portant sur un montant de 13 millions de dollars, une première pour Intel dans le domaine de la robotique. Ces fonds doivent permettre à Aldebaran de développer son offre de produits en direction de niveaux secteurs tels que les soins à la personne, tout en augmentant ses capacités en matière de recherche et développement.
« Ce partenariat avec Intel marque une étape dont nous estimons qu'elle propulsera l'entreprise et les technologies que nous avons développées vers leur plein potentiel. Nos produits possèdent la souplesse nécessaire à fournir des solutions sur toute une série d'applications et cet investissement jouera un rôle décisif dans notre rendement de production et nos moyens de recherche pour accompagner l'expansion de l'entreprise sur de nouveaux marchés », se félicite dans un communiqué Bruno Maisonnier, fondateur et président d'Aldebaran Robotics.
Le plus fameux des robots signés se nomme Nao. Du haut de ses 60 centimètres, il se présente comme un humanoïde autonome, entièrement programmable, utilisé notamment dans les domaines de la recherche et de l'éducation. Aujourd'hui, Nao n'est pas commercialisé auprès du grand public, mais les professionnels ou amateurs éclairés peuvent s'en procurer un exemplaire pour environ 3 600 euros, après avoir rejoint le programme dédié.
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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