Sony a finalement annoncé aujourd'hui ses premiers Ultrabooks, près d'un an après l'annonce du concept et des premiers modèles par la concurrence. Les « Vaio T » n'ont pourtant rien de particulier, ils deviendront même rapidement obsolètes.
323 x 226 x 17,8 mm pour 1,6 kg pour le 13,3 pouces
Ces tout nouveaux Vaio reposent effectivement sur l'architecture Sandy Bridge et sur la plateforme Huron River, tout juste remplacées. L'absence de détails techniques concernant les prototypes exposés au CES et l'annonce tardive présageaient pourtant de l'adoption de l'architecture Ivy Bridge, lancée la semaine dernière.
Ce seront donc vraisemblablement les derniers Ultrabooks de première génération, alors qu'ils auraient pu être les premiers de seconde génération.
Ils misent en contrepartie sur leur esthétique et leur qualité de fabrication, héritée du luxueux ultraportable Vaio Z. Leur châssis est ainsi constitué d'aluminium et de magnésium.
Sony ne communique pour l'heure que la fiche technique du « Vaio T13 » d'entrée de gamme, qui s'articule autour d'un écran WXGA de 13,3 pouces et abrite un Intel Core i3-2367M (un bi-cœur à 1,4 GHz et 3 Mo de cache), 4 Go de DDR3 et 320 Go de disque dur à 5400 tr/min. La connectique comprend USB 3.0, HDMI, Wi-Fi N et Bluetooth 4.0.
Des « Vaio T11 » offrant une diagonale de 11,6 pouces seront également proposés, ainsi que des options SSD portant l'autonomie à 9 h.
Malheureusement, Sony n'a encore communiqué aucun prix ni aucune date de commercialisation.
Article initialement publié le 02/05/2012 à 11 h 32
Mise à jour du 07/05/2012 à 14 h 59
Le Sony Vaio T a été mis en vente en France, notamment au travers de la boutique en ligne du fabricant. La configuration de base du T11, que l'acheteur peut personnaliser, est facturée 700 euros, celle du T13 750 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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