C'est au tour de Dell de présenter sa Surface Pro, avec un XPS 12 misant sur un écran de grande qualité ainsi que sur une esthétique réussie.
Après Vaio avec le Z Canvas, Microsoft avec la Surface Pro 4 et HP avec le Spectre X2, c'est maintenant au tour de Dell de lancer un nouveau PC convertible haut de gamme. Comme prévu, le fabricant américain a présenté le XPS 12, qui offre quelques spécificités alléchantes.
L'écran de 12,5 pouces du Dell XPS 12 est effectivement proposé en option avec une définition Ultra HD (3840 x 2160 pixels), soit une résolution de 350 pixels-par-pouce, et avec une couverture de 100 % de l'espace colorimétrique étendu Adobe RGB, utilisé par les professionnels de l'image. La tablette affiche autrement une définition Full HD (1920 x 1080 pixels) et couvre l'espace colorimétrique standard sRGB.
Elle est en tout cas compatible avec un stylet Dell Active Pen, vendu en option.
Mesurant 8 mm d'épaisseur, encore moins que la Surface Pro 4, la tablette abrite un processeur Intel Core M à deux cœurs cadencés de 1,1 à 2,7 GHz, 8 Go de mémoire vive LPDDR3 à 1600 MHz et un SSD SATA de 128 ou de 256 Go. Elle offre une connectique à la pointe, avec notamment deux ports Thunderbolt 3 au format USB Type-C (alors que la Surface Pro 4 n'a qu'un port USB dit standard).
La tablette s'accompagne d'un clavier amovible à l'esthétique et à l'ergonomie travaillées, avec un pavé tactile en verre et des touches offrant une course de 1,3 mm. Le clavier soutient l'écran sans béquille, il n'est donc pas obligatoire de s'installer sur une surface plane comme c'est le cas avec d'autres convertibles, mais en contrepartie le support aimanté n'offre qu'une seule inclinaison.
Le Dell XPS 12 sera bientôt disponible aux États-Unis à des prix débutant à 1 000 dollars HT. Elle sera disponible en France « dans les prochains mois », pour des prix encore inconnus.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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