Sony annonce aujourd'hui le lancement de PlayStation Music, un service de musique à la demande dont Spotify est le « partenaire exclusif ».
Mise à jour : PlayStation Music est disponible à partir d'aujourd'hui, le 30 mars 2015.
Sony noie le poisson alors qu'en réalité l'annonce tient en quelques mots : Spotify sera prochainement disponible sur PS4, PS3 et téléphones et tablettes Xperia au travers d'une application baptisée PS Music, puis sur le Web et sur ordinateur. PlayStation Music et Spotify ne seront pas seulement « étroitement liés », comme l'écrit Sony dans son communiqué de presse, ce sera tout simplement le même service.
Sony n'a dévoilé que le logo, mais pas l'interface
Même si Sony promet des « avantages uniques et exclusifs », on souscrira directement auprès de Spotify, ou bien on se connectera directement à son abonnement Premium existant le cas échéant, et on pourra indifféremment utiliser l'application Spotify originale sur les terminaux compatibles.
Sony cherche d'une part à minimiser l'échec de Music Unlimited, le service qu'il a lancé il y a près de cinq ans, et d'autre part à enrober le fait qu'il a recours à un prestataire tiers pour réussir dans la musique, alors que le groupe détient l'une des trois majors du disque, Sony Music Entertainment. C'est néanmoins une décision bénéfique aux consommateurs, qui n'auront pas à jongler avec plusieurs services ou à renoncer au ténor du secteur pour écouter de la musique en jeu. Sony a fait le même choix sur le marché du téléviseur, en généralisant Android TV sur sa nouvelle gamme.
PlayStation Music sera lancé « au printemps », il n'est donc pas totalement exclu qu'il y ait une période de carence suite à la fermeture de son prédécesseur.
Sony profite de l'occasion pour renommer Video Unlimited, qui est maintenu en l'état, mais qui devient PlayStation Video (ou PS Video).
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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