Spotify a démarré le déploiement de la fonction Spotify Connect inter-terminaux, qui permet de diffuser vers un terminal, plutôt que vers des enceintes compatibles, de la musique choisie et contrôlée depuis un autre.
Un peu plus d'un an après le challenger Rdio, Spotify dote finalement son application mobile d'une fonction permettant en substance de télécommander un second terminal. La nouvelle version de Spotify pour Android et iOS permet effectivement à un téléphone ou à une tablette de contrôler un autre téléphone ou tablette.
Ceux qui ne sont pas équipés d'enceintes connectées compatibles Spotify peuvent ainsi relier leur tablette à des haut-parleurs quelconques et contrôler la musique depuis leur téléphone, par exemple, à l'aide de l'application Spotify. Depuis le lancement de la fonction en septembre 2013, l'application Spotify ne permettait de diffuser que vers des enceintes ou appareils spécifiques.
Télécommander un autre terminal via 3G ou 4G
Seules les commandes sont pour rappel transmises, la musique étant téléchargée directement sur les serveurs du service par le terminal télécommandé. Cela permet d'économiser de la batterie (un seul appareil décode effectivement la musique) et de libérer l'appareil servant à télécommander, qui peut recevoir un appel voire s'éteindre sans que la musique ne s'interrompe. Après l'association initiale sur un même réseau, la fonction peut d'ailleurs fonctionner via Internet, et notamment par un réseau cellulaire 3G ou 4G.
On ne sait pas encore si le logiciel pour ordinateur et la version Web sont pris en charge, dans un sens et/ou dans l'autre. C'est le cas avec Rdio.
Cette nouvelle version de Spotify est progressivement déployée sur Android et iOS. Contacté par nos soins, un représentant précise qu'il est à mi-chemin et qu'il sera terminé dans « les prochaines semaines ».
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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