Test Corsair Scimitar Elite RGB : les MMORPG / MOBA ont trouvé leur souris

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
19 mars 2020 à 16h23
5
Cinq ans après la sortie de la Scimitar RGB et trois ans après la version « Pro » de cette souris, voilà que Corsair se décide à remettre le couvert avec une mouture baptisée « Elite ». Sur le papier, il semble surtout question de menus ajustements... et d'un changement de capteur tout de même.

Sortie courant 2015, la Scimitar RGB était l'une des premières souris spécifiquement dédiées aux joueurs de MMORPG, ces jeux de rôle massivement multijoueur pour lesquels il peut être pratique d'avoir accès à de multiples compétences uniquement avec la main droite. Pour ce faire, Corsair avait imaginé un pavé coulissant doté de douze boutons accessibles au pouce. Oui, douze boutons que l'on retrouve aujourd'hui à l'identique sur la Scimitar Elite RGB afin, une fois encore de séduire les amateurs de MMORPG... et, signe des temps, ceux de MOBA également.

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Une souris pour le moins trappue © Nerces pour Clubic

Fiche technique de la Corsair Scimitar Elite RGB

Qu'il s'agisse de Logitech, Razer, SteelSeries ou aujourd'hui Corsair, tous les grands constructeurs de périphériques gaming alternent entre évolutions en douceur et changements plus profonds dans leurs gammes. Nous l'avons dit, la sortie de la Scimitar Elite RGB appartient clairement à la première catégorie et pour vous en convaincre, nous vous invitons à comparer la fiche technique ci-dessous avec de la Scimitar Pro RGB que vous pouvez, par exemple, retrouver sur le site officiel du constructeur.

La Corsair Scimitar Elite RGB, c'est :
  • Prise en main : droitier
  • Capteur : Pixart PMW3391 (optique)
  • Contacteurs : Omron (50 millions de clics)
  • Sensibilité : 100 - 18 000 PPP, par pas de 1 PPP
  • Fréquence : 125 - 1 000 Hz
  • Nombre de boutons : 17, tous programmables
  • RGB : oui, 4 zones
  • Dimensions : 120 x 78 x 42 mm
  • Poids : 122 g
  • Type de connexion : USB 2.0
  • Logiciel : oui, Corsair iCUE
  • Prix et disponibilité : déjà disponible, à 89,99 €

Sur le papier, on retrouve donc une souris aux dimensions strictement identiques - même le poids est identique à 122 grammes - preuve que Corsair a utilisé le même gabarit pour la conception de son nouveau modèle. On retrouve également les 17 boutons programmables et les contacteurs de marque Omron garantis pour 50 millions de clics.

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Plutôt bombée, la Scimitar impose sa prise en main © Nerces pour Clubic

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Design et prise en main

À Clubic, nous n'avions jamais testé de Corsair Scimitar. Peu importe les similitudes avec les précédentes versions, il est donc utile de décrire la conception de cette souris qui ne laisse pas indifférent. Tout à fait dans la norme côté longueur, elle surprend de prime abord par une certaine largeur et, surtout, par sa conception « bombée ». Ainsi, le point le plus haut de la souris - à 42 mm de la base - s'établit aux deux tiers de la longueur du périphérique. Dit de cette manière, cela n'a l'air de rien, mais cela influence considérablement la tenue de la souris et même les plus grandes mains ne pourront sans doute pas adopter les claw grip et fingertip grip ou tenue « griffe » et tenue « du bout des doigts ».

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Sur le côté droit, une zone de grip facilite la préhension de la souris © Nerces pour Clubic

Dans la pratique, c'est donc une palm grip qui s'impose, autrement dit, l'intégralité de la paume de la main vient reposer sur le dos de la souris. L'index et le majeur peuvent alors redescendre, doucement, sur les deux boutons principaux. Confortable, l'annulaire profite d'une petite excroissance sur le côté droit de la souris. Mieux, ce repose-doigt est recouvert d'une surface en caoutchouc disposant d'un relief pour assurer un maintien parfait. En fonction de la morphologie de votre main, il se peut d'ailleurs que l'auriculaire y prenne place également quand d'autres joueurs préféreront le laisser le long de la souris. Une chose est cependant certaine : les petites mains auront toutes les peines du monde à apprécier la Scimitar et la critique n'est pas nouvelle... les utilisateurs la formulent depuis la sortie du premier modèle.

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Le fameux bloc de douze boutons programmables © Nerces pour Clubic

De l'autre côté de la souris, on remarque la spécificité de la gamme Scimitar. En lieu et place des deux boutons « de pouce » que l'on retrouve souvent, Corsair en dispose 12 ! Des boutons que l'on utilise avec le pouce et vous comprendrez là encore que les petites mains auront toutes les peines du monde à profiter de tous ces boutons. Cela dit, même pour les grandes mains ce n'est pas évident et nécessite une période d'adaptation plus ou moins longue en fonction des individus. Les douze boutons sont disposés à la manière d'un tableau de quatre colonnes / trois lignes avec tout de même une très légère courbure afin que les boutons soient plus accessibles. Mieux, Corsair s'est arrangé pour que le panneau soit mobile : nous le verrons plus tard, mais cela permet de déplacer les boutons sur 8 millimètres, en avant ou en arrière. Très pratique.

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Sur le dos de la Scimitar, l'inévitable logo Corsair peut s'illuminer © Nerces pour Clubic

Notons également que ce panneau de boutons est largement éclairé. Corsair a ménagé une petite zone de lumière sur la gauche du panneau et chaque bouton laisse passer la lumière au niveau du chiffre qui l'identifie. Il s'agit d'une des quatre zones d'éclairage préparé par Corsair. Il s'en trouve une sur le dos de la souris, au niveau du logo de la marque. Une autre est intégrée à la molette sur laquelle nous aurons l'occasion de revenir. Enfin, la dernière se trouve sur l'avant de la souris, à proximité du câble de connexion. On ne voit d'ailleurs pas bien à quoi elle peut servir dans la mesure où on ne la remarque pour ainsi dire pas quand on utilise la souris. Puisque nous parlons du câble, il est intéressant de signaler que celui-ci n'est hélas pas détachable, mais, de longueur standard (1,8 mètre), il a le bon goût d'être entièrement tressé.

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Les deux boutons derrière la molette ne sont pas toujours très accessibles © Nerces pour Clubic

Notre petit tour du propriétaire s'achève en jetant un œil sous la Scimitar Elite RGB. Là encore, aucune surprise pour les habitués de la gamme puisqu'une fois de plus, Corsair a calqué son modèle sur les deux précédents. Quatre patins en Téflon se retrouvent donc aux « quatre coins » de la souris. De prime abord, ces patins peuvent sembler sous-dimensionnés. Dans les faits, cela ne pose aucun problème de glisse. La souris est propulsée avec aisance sans que les choses ressemblent à une patinoire. Notons également la présence d'un emplacement pour clé Allen : c'est ce dont nous parlions précédemment, avec l'accessoire fourni, il est très simple de débloquer le panneau de douze boutons pour le déplacer légèrement.

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Une molette précise et agréable, mais non débrayable © Nerces pour Clubic

Capteur 18 000 PPP et molette basique

Jusqu'à présent, on ne peut pas dire que Corsair se soit particulièrement cassé la tête avec cette Scimitar Elite RGB. On pourrait même dire que les designers de la marque on prit des vacances prolongées tant la souris est rigoureusement identique aux précédentes moutures. L'étude de la version Elite se justifie toutefois dès lors que l'on se penche sur le capteur. Corsair s'est effectivement décidé pour le récent PMW3391 de chez Pixart. Une version qui fait suite au PMW3389 dont la sensibilité se « limitait » à 16 000 points par pouce quand la nouvelle mouture monte jusqu'à 18 000 ppp. Saluons Corsair qui n'altère pas le marquage du capteur pour faire croire qu'il est de son cru comme certains concurrents.

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Sous la souris, les quatre - petits - patins en Téflon © Nerces pour Clubic

Le Pixart PMW339A est effectivement un classique des capteurs haute sensibilité et on le retrouve par exemple sur la Corsair M65 RGB Elite ou la SteelSeries Sensi Ten. Son intégration à la Scimitar Elite RGB ne pose pas le moindre problème. Il s'agit d'un capteur optique, mais nous n'avons par exemple à déplorer aucune difficulté sur les surfaces testées : tissu, cuir ou revêtement plastique d'un tapis de souris bas de gamme. Bien sûr, nous avons également testé la souris sur un tapis MM350 de chez Corsair... et c'est un pur bonheur. Un bonheur du côté de la glisse bien sûr, mais aussi côté capteur. La sensibilité réglable - nous y reviendrons - permet de s'adapter à toutes les situations. Bien sûr, les 18000 ppp n'auront que très rarement d'utilité, mais comme le dit l'adage, « qui peut le plus, peut le moins ».

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Le bloc de 12 boutons s'illumine avec élégance © Corsair

Puisque nous parlions de glisse, il est intéressant de souligner que les 122 grammes de la souris ne se sont jamais montrés gênants au cours de nos tests. Bien sûr, on est loin des souris à moins de 100 grammes - voire moins de 70 grammes - très à la mode depuis quelques mois et la Scimitar Elite RGB ne sera sans doute pas la meilleure pour briller dans des tournois FPS... Mais ça tombe plutôt bien puisque ce n'est pas du tout son cœur de cible. Rappelons que Corsair la destine autant pour des MMORPG que des MOBA et reconnaissons que sur ce type de jeux, elle s'en sort avec les honneurs. Son poids n'est donc plus tant un problème et les nombreux boutons de pouce sont une bénédiction. Bon, pour être tout à fait honnête, nous avons un peu de mal à utiliser les douze de manière efficace, mais les neuf premiers, c'est impeccable : seule la dernière colonne a vraiment posé des problèmes à notre petit pouce de moins de 8 centimètres !

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Dommage, le câble USB ne peut être détaché © Nerces pour Clubic

Petite déception en revanche, surtout si on pense que la souris est tout de même facturée près de 90 euros : Corsair n'intègre qu'une molette toute simple. Entendez par là qu'il n'est pas question de retrouver un modèle débrayable comme le fait parfois Logitech. Plus regrettable encore, il n'est même pas question de proposer des clics latéraux, pourtant bien pratiques. Il faut donc se contenter d'un défilement « basique », mais ne forçons pas le trait. Tout d'abord, la molette est parfaitement positionnée : elle dépasse juste ce qu'il faut pour que le doigt la trouve sans gêne. Notons aussi que la rotation se fait de manière très souple et, plus intéressant encore, le crantage se montre précis sans qu'il ne vienne gêner de quelque manière que ce soit le défilement.

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Une petite clé Allen - fournie - pour personnaliser la position du bloc 12 boutons © Corsair

Logiciel Corsair iCUE

Un total de dix-sept boutons programmables, quatre zones de lumière et l'ambition de convaincre les joueurs de MMORPG / MOBA, la Scimitar Elite RGB se devait de disposer d'une interface logicielle digne de ce nom. Les habitués de la marque Corsair ne seront guère surpris de voir que l'Américain relève le défi haut la main. Son logiciel iCUE est bien connu des joueurs et son excellente réputation est méritée. Premier point bien pratique pour tous les utilisateurs de la marque : les périphériques gaming sont reconnus au sein de la même interface. Ainsi, les possesseurs d'un clavier K57 RGB Wireless et d'un casque-micro VOID RGB Elite Wireless les retrouveront à côté de la Scimitar Elite RGB au sein de l'interface iCUE.

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iCUE est une interface unifiée pour tous les périphériques gaming Corsair © Nerces pour Clubic

Après quelques années d'errance, Corsair a finalement trouvé une formule plus juste pour organiser les fonctionnalités logicielles de ses périphériques. Sans surprise, la rubrique « action » est là pour définir la fonction de chacune des commandes disponibles. Ce qui est chouette à ce niveau, c'est que toutes les fantaisies sont possibles et qu'il est bien sûr possible d'affecter une macro différente à chacun des douze boutons du panneau de pouce. La seconde rubrique, « effets d'éclairage » se penche logiquement sur les quatre zones LED dont nous avons parlé précédemment. Là, Corsair se montre un peu chiche en options et surtout en modèles proposés. Des effets d'arc-en-ciel ou de pulsation sont évidemment au menu et il reste possible de paramétrer voire de couper chaque zone de manière indépendante.

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Quatre zones d'éclairage que l'on paramètre sans difficulté © Nerces pour Clubic

Ensuite, Corsair donne accès aux DPI, c'est-à-dire aux réglages de la sensibilité de la souris. Bien sûr, des valeurs sont proposées par défaut avec les classiques seuils à 800, 1500, 3000, 6000 et 9000 points par pouce et un « sniper » établit à 400 ppp. Corsair nous laisse en réalité les coudées franches puisque les paliers peuvent être configurés de 100 à 18000 ppp avec des pas de 1 ppp ! Il semble difficile, dans ces conditions, de ne pas trouver chaussure à son pied. Chose sympa, un code couleur est affecté à chacun des six paliers de sorte que lorsqu'il est activé, la zone des boutons de pouce puisse s'illuminer et nous renseigner sur la sensibilité actuellement active. La troisième catégorie - baptisée « performance » - est notamment liée à la hauteur de décrochage de la souris lorsqu'on souhaite la soulever pour la recentrer à la vitesse du déplacement du pointeur.

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Personnalisation très pointue de la sensibilité du capteur © Nerces pour Clubic

Une dernière rubrique est consacrée au « calibrage de surface » comme l'appelle Corsair. Il s'agit d'une fonction permettant, sur le papier, d'optimiser la réactivité du capteur en fonction de la surface utilisée. Dans les faits, les différences peuvent être subtiles, mais encore une fois, cela ne fait de toute façon pas de mal d'avoir une telle option. On est en revanche un peu surpris de voir Corsair regrouper quelques autres réglages dans ce qu'il appelle les paramètres du périphérique : il faut aller les chercher ! C'est là que l'on trouve le taux de réponse (polling rate) et c'est également là que l'on va pouvoir mettre à jour le firmware de la bête ou modifier les options de iCUE (langue, unités de mesure...). Un choix étonnant qui ne doit pas faire oublier le bon travail de Corsair sur l'interface et, plus encore, les options disponibles.

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Les ultimes paramètres sont étrangement rangés dans les réglages © Nerces pour Clubic

Corsair Scimitar Elite RGB : l'avis de Clubic

Depuis cinq ans, la gamme Scimitar est appréciée de tous les fans de MMORPG / MOBA et ce n'est clairement pas avec la Scimitar Elite RGB que cela risque de changer. Corsair conserve effectivement les atouts qui ont fait le succès des précédents modèles, à commencer par le fameux bloc de douze boutons programmables directement accessibles avec le pouce. L'ergonomie - malgré la palm grip un peu forcée - est excellente et le niveau de finition au moins aussi remarquable. Soulignons la qualité de la glisse, le répondant des boutons Omron ou la richesse de l'éclairage RGB. Enfin, le logiciel iCUE est toujours aussi complet. Mais voilà, cette liste de louanges aurait tout aussi bien pu être écrite pour la Scimitar RGB ou la Scimitar Pro RGB. Avec la Elite RGB, Corsair ne change pour ainsi dire que le capteur... et nous ne sommes pas certains de l'intérêt de la chose. La Scimitar Elite RGB est une excellente souris, mais l'innovation est en panne.

Corsair Scimitar Elite RGB

8

Les plus

  • Ergonomie « palm » remarquable
  • Capteur précis et sensible (18K ppp)
  • Total de 17 boutons programmables
  • Boutons de pouce bien placés
  • Logiciel iCUE très complet
  • Éclairage gadget, mais sympa

Les moins

  • Uniquement pour droitiers
  • Plutôt pour les grandes mains
  • 3 des 12 boutons peu accessibles
  • Ça reste cher tout de même
  • Où sont les évolutions depuis la Pro RGB ?

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Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les év...

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Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.

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Commentaires (5)

Winston67
Entièrement d’accord avec l’article , surtout pour la taille et les boutons du coté gauche<br /> Le problème en ce moment toute marque confondu c’est le nombre de bouton sur le coté , guère plus que 2-3 (je ne compte pas les deux boutons à coté du clic gauche sur mon ancienne g502) ou alors on tombe dans l’excès comme cette scimitar , au final pour moi qui a une grande main ben les doigts c’est pareil , du coup , j’appuie souvent sur deux boutons en même temps , sans compter que parfois le pouce se perd et prend quelques instants pour retrouver ses marques , dans le feu de l’action ça peut jouer , comme dit dans l’article guère plus que 6 utilisable et encore…<br /> Il y a bien la roccat nyth ou la razer naga trinity permettant de customiser ça mais bon pour les deux marques je n’ai pas que de bons souvenirs des switch bouton gauche ^^<br /> Dans le temps il y avait les G700(S) de logitech avec leur 4 boutons sur le coté et une bonne prise en main , mais ça c’était avant…<br /> Pour le reste je suis pleinement satisfait de la corsair , bien que cela ne soit pas la RGB mais juste la pro (c’est surtout que les switch me resistent… ^^)<br /> En fait osef du RGB
bmustang
je la prendrai bien comme pavé numérique pour mon laptop
trollkien
Jamais eu ce type de souris pour jouer, même si j’ai parfois été tenté.<br /> comme plus haut ca me parait énorme 12 boutons pour un pouce…<br /> Ca serai pas plus pratique (ca existe?) un systeme de boutons lateraux type « anneau » avec 4 ou 8 boutons suivant les « points cardinaux » et un bouton au centre, qui serai suremnt plus simple à appréhender d’un seul doigt ?
renard38
tout l’inverse,a part la G502 rien de bien chez logitech,et sans parler de leur Hub immonde,qui est a des années de Icue.
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