Eizo lance un moniteur Ultra HD haut de gamme destiné aux photographes et aux infographistes, qui présente la particularité d'intégrer une sonde de calibration, pour restituer des couleurs d'une grande fidélité tout au long de sa durée de vie.
Fabricant réputé, Eizo complète sa série d'écrans haute fidélité ColorEdge d'un modèle dénommé CG248-4K. Il s'agit pour commencer, comme son nom l'indique, d'un écran de 24 pouces de diagonale, ou plus précisément de 23,8 pouces, affichant une définition 4K, ou plus précisément Ultra HD. (On regrette au passage qu'un fabricant si pointu entretienne la confusion entre ces deux notions, alors qu'il propose lui-même des écrans en vraie 4K DCI.)
Il repose sur une dalle LCD IPS — à rétro-éclairage à LED — triée sur le volet. Il délivre ainsi 1,07 milliard de couleurs (10 bits) et couvre 99 % de l'espace colorimétrique Adobe RGB, et convient donc aux professionnels de la photo et du print. Il n'est pas idéal en revanche pour les cinéastes et vidéastes, du moins pas à long terme : s'il couvre 100 % de la norme Rec. 709 de l'ère Full HD, il ne couvre que 77 % de la Rec. 2020, celle des futurs équipements Ultra HD, et 93 % de la norme cinématographique DCI.
Il intègre quoi qu'il en soit une sonde de calibration escamotable, qui permet d'automatiser l'ajustement de la luminosité, du gamma et de la température de couleur, et leur maintient dans le temps.
Il dispose par ailleurs de deux entrées DisplayPort 1.2, de deux entrées HDMI (certainement 1.4, faute de précision), ainsi que d'un concentrateur USB 3.0 à trois ports.
L'Eizo ColorEdge CG248-4K sera commercialisé en France à partir du mois de juin au prix public de 2 500 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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