Le numéro un européen du PND lance ainsi les TomTom Start 42, 52 et 62. Tout comme leurs prédécesseurs, ces trois modèles - qui ne se distinguent que par leur taille d'écran - misent sur des fonctions simples, mais abouties, combinées à des tarifs abordables.
Le point fort de ces produits est indéniablement leur cartographie. Pour commencer, munis de 8 Go de mémoire interne, ils embarquent la carte de l'Europe. Ils offrent aussi et surtout le service « cartographie à vie », qui « garantit de bénéficier des cartes les plus récentes ». Concrètement, TomTom met à disposition une mise à jour gratuite chaque trimestre, qu'on peut installer en quelques dizaines de minutes par le biais d'un ordinateur.
Ces TomTom Start offrent aussi la fonction de « guidage avancé sur changement de voie », qui indique clairement les voies à emprunter à l'approche d'une bifurcation. Ils disposent enfin d'un avertisseur de radars fixes, sur abonnement.
Une alternative intéressante à Waze et consorts
TomTom propose dès à présent les Start 42 et 52, dotés d'écrans de 4 et 5 pouces, pour respectivement 130 et 150 euros. Il proposera dans un second temps un Start 62 avec un écran de 6 pouces, pour un prix encore inconnu.
À niveau de prestation équivalent, les PND de TomTom sont réputés plus chers que ceux du rival américain Garmin. Mais TomTom mise sur son image de marque et sur sa réputation, méritée, de valeur sûre.
Avec la démocratisation des smartphones, les applications de guidage gratuites telles que Waze font de plus en plus d'adeptes. Face à ces solutions, un appareil dédié présente néanmoins quelques avantages. Installé de manière semi permanente et branché à la prise allume-cigare, il s'allume automatiquement lorsqu'on démarre sa voiture et il est constamment prêt à l'emploi. Il embarque aussi sa propre cartographie et fonctionne sans connexion à internet. Il convient ainsi à ceux qui n'ont pas ou peu d'internet mobile, ainsi qu'à ceux qui voyagent à l'étranger.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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