Oocar a récemment rejoint le marché florissant des solutions de deuxième monte permettant de rendre sa voiture connectée. Face à des acteurs installés tels qu'Automatic (encore exclusivement aux États-Unis) ou Xee, ce nouvel entrant se concentre sur les économies.
La startup française Oocar s'inscrit à son tour dans la tendance de la mesure appliquée à l'automobile. Tout comme ses concurrents, le produit se présente sous la forme d'un module à brancher sur la prise diagnostic (qui s'est généralisée en 2001) et d'une application mobile.
Mais son leitmotiv est « conduisez, économisez ». Il promet de mettre fin à l'opacité de votre budget automobile et de vous faire faires des économies. Pour commencer, le module ne coûte que 40 euros, presque trois fois moins cher que celui de Xee. En contrepartie il ne communique avec votre smartphone qu'à proximité par Bluetooth, pas à distance par réseau cellulaire.
L'application offre quant à elle plusieurs fonctions liées de près ou de loin au coût d'une voiture :
Pour commencer, l'enregistrement des données télémétriques permet de présenter un journal de bord, avec le coût de chaque trajet
Une fonction éco-conduite incite à adopter une conduite économique et écologique en décernant un score sur plusieurs critères (accélération, décélération, passage des rapports), mais sans délivrer de conseils personnalisés
L'application anticipe certaines pannes, telles que celles de batterie, et évite ainsi d'avoir recours à un dépanneur
En cas de panne, l'application peut identifier sa provenance et dispenser l'automobiliste de faire faire un diagnostic
À terme, l'application référencera les stations essence et les réparateurs les plus économiques à proximité
Oocar est disponible depuis la fin du mois de novembre en France, directement auprès de la marque, au prix de 40 euros. Il n'y a pas d'abonnement mensuel ou annuel. Seule l'application iPhone est disponible à ce stade, mais une application Android est attendue « très prochainement » depuis deux mois.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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