Une véritable Tour de Babel se dresse dans la banlieue de Melbourne… sans doute pas pour très longtemps.
Comme nous l'expliquions dans notre test, Flight Simulator 2020 utilise un double procédé pour rendre aussi précisément que possible l'intégralité de notre petite planète. Dans les cas les plus précis, il fait usage de la photogrammétrie afin d'obtenir une modélisation proche de la perfection. Cela ne concerne pour le moment qu'un total de 400 villes.
Comme une épine dans le ciel de Melbourne
Pour toutes les autres, Microsoft et Asobo font appel aux images satellites du service Bing que divers algorithmes exploitent afin de recréer chaque agglomération. À en croire Engadget, ils utilisent aussi les données, libres, d'OpenStreetMap et c'est à ce niveau qu'une coquille est survenue.
Il semblerait qu'une petite erreur se soit glissée dans les bases du service. Une erreur qui a attribué 212 étages à un bâtiment de la banlieue de Melbourne qui, en réalité, n'en a que deux étages. Résultat : une immense structure se dresse dans le ciel de la seconde ville australienne.
Nul doute que la chose sera rapidement corrigée, alors ne tardez pas si, comme sur la vidéo ci-dessus, vous avez envie de vous poser sur cet étonnant bâtiment.
Source : Engadget
Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.
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