Après avoir ressuscité la marque Technics, pour ses produits Hi-Fi, Panasonic relance finalement la série SL-1200, cinq ans après l'arrêt de la production.
Lancée dans les années 1970, la Technics SL-1200 est la référence de la platine vinyle depuis plus de 40 ans. Popularisée par les DJs, c'est la valeur sûre, au point qu'elle a débordé sur le marché de la Hi-Fi. Face a l'essor du mix sur CD, et plus précisément sur Pioneer CDJ-1000, Panasonic en a pourtant cessé la production en 2010.
Depuis, certains revendeurs reconstituent des SL-1200 à partir de pièces détachées neuves puis les vendent trois fois leur dernier prix public. Même Pioneer, qu'on peut tenir pour principal responsable de son départ en retraite, a fini par lancer un clone, dénommé PLX-1000.
Mais six ans plus tard, Panasonic annonce « le retour de la platine vinyle à entrainement direct » avec le lancement de la Technics SL-1200G.
Le G de la référence est celui de la série « Grand Class » de la nouvelle marque Technics. Bien qu'il soit quasi identique aux dernières SL-1200, le nouveau modèle n'est pas destiné aux DJ mais aux audiophiles. L'apport principal est un nouveau moteur à entrainement direct, qui comble la problématique des micro-vibrations qui détérioraient le son, ce qui l'ouvre pour de bon au marché de la haute fidélité.
La nouvelle Technics SL-1200G sera mise en vente « plus tard cette année », sans plus de précision, et particulièrement sans tarification. Une version spéciale « Technics 50th anniversary » SL-1200GAE, limitée à 1 200 pièces numérotées, sera lancée fin 2016.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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