Philips étoffe ses gammes d'éclairages connectés avec un kit associant une télécommande à des ampoules blanches à intensité réglable. Jusqu'à dix ampoules peuvent être pilotées depuis le même boîtier, sans station centrale.
Vers un éclairage connecté plus simple et plus abordable ? Philips dévoile cette semaine un nouveau kit d'ampoules dans sa gamme Hue, qui présente l'intérêt de fonctionner de façon autonome, sans qu'il soit nécessaire de disposer d'une station centrale. Il réunit une petite télécommande à quatre boutons, alimentée par une pile, et une ampoule blanche capable de délivrer jusqu'à 800 lumens avec une lumière assez douce (2700K).
La télécommande permet d'allumer ou d'éteindre l'ampoule mais aussi de moduler son intensité, via des boutons + et -. Surtout, elle sait se synchroniser avec un maximum de dix ampoules pour peu que ces dernières soient situées dans un rayon de 30 mètres (portée théorique).
S'il fait l'impasse sur les fonctions colorées des premiers modèles de la gamme Hue, ce kit présente l'intérêt de fonctionner de façon autonome : aucun autre équipement n'est requis. Pour accéder aux fonctions de contrôle à distance depuis d'autres appareils Hue ou depuis un smartphone, il faudra cependant disposer de la station centrale (reliée au routeur domestique) déjà commercialisée par Philips.
Le kit de départ (télécommande + une ampoule) est annoncé à 39,95 euros, auxquels il faudra ajouter 19,95 euros par ampoule supplémentaire. Philips indique que la commercialisation débutera courant septembre, et présentera vraisemblablement ces nouveaux produits la semaine prochaine dans le cadre du salon IFA de Berlin, pour lequel nous vous donnons d'ores et déjà rendez-vous.
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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