Sony a annoncé mardi par le biais de sa division jeu vidéo (Sony Computer Entertainment) une première barre de son, destinée en l'occurrence à sa console de salon, qui est accessoirement le lecteur de Blu-ray le plus répandu. Le fabricant nippon d'électronique grand public commercialisait bien des barres de son, mais elles étaient jusqu'à présent indissociables des meubles dans lesquels elles étaient camouflées.
Le « Surround Sound System pour PlayStation 3 » quant à lui, constitué d'une barre et d'un caisson de graves, promet comme son nom l'indique de restituer un son immersif, en délivrant la sensation d'un son multicanal provenant notamment de l'arrière. Le dispositif repose pour ce faire sur le procédé de la psycho-acoustique, basé sur des calculs de latences.
Son appartenance à la famille PlayStation se résume en fait à son esthétique et à un mode « dialogue », destiné à mettre en relief les dialogues et la narration des jeux vidéos. Un mode « nuit », plutôt destiné au cinéma, permet quant à lui d'adapter la bande son d'un film à un faible volume d'écoute.
Le préamplificateur est doté d'une entrée numérique optique et d'une entrée analogique. Il décode le Dolby Digital et le DTS, mais aucun des formats dits « HD » introduits avec le Blu-ray qui requièrent une connectique HDMI. Il faudra donc se contenter des formats standards encapsulés dans ces derniers. L'amplificateur fournit 10 W à chacun des deux hauts parleurs de 50 x 90 mm de le barre, et 15 W à chacun des deux hauts parleurs de 65 mm de diamètre du caisson de graves. Il utilise enfin sa propre télécommande au format carte de crédit, et n'offre malheureusement aucun moyen d'utiliser la télécommande Bluetooth de la PS3.
Le Sony Surround Sound System pour PlayStation 3 sera commercialisé cet automne au prix public de 200 euros.
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Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
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