Test du Sabrent Rocket Q : le SSD NVMe de haute capacité

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
06 janvier 2021 à 18h03
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Sabrent Rocket Q © Sabrent

Moins connu que Samsung et Western Digital ou même que Corsair et Crucial, Sabrent est LA marque qui monte dans l’univers du SSD. À son catalogue depuis déjà plusieurs mois, le Rocket Q est un modèle très rapide, mais qui privilégie, malgré tout, la capacité sur les performances avec des versions allant jusqu’à 4 To et même 8 To.

Sabrent Rocket Q
  • Bon rapport capacité / prix
  • Des débits de bon niveau
  • De 500 Go à 8 To
  • Garantie jusqu'à 5 ans
  • Cache bien géré
  • Acronis True Image livré
  • Endurance en retrait
  • Dissipateur indispensable
  • Interface logicielle à revoir
  • De grandes capacités qui restent onéreuses

Il y a quelques semaines, nous testions le Corsair MP400, le SSD « capacité » de chez Corsair dans sa version 4 To. Afin de lui opposer un compétiteur, nous étudions aujourd’hui le cas du Rocket Q qui est en fait sorti plus tôt que le MP400. Un modèle que Sabrent qualifie de passe-partout. Avec des capacités allant de 500 Go à 8 To et des débits en lecture annoncés à plus de 3 Go/s, il semble en effet capable de convenir à tous les usages. Pour rester raccord avec le test du MP400, c’est la version 4 To que nous avons passée au crible de nos tests.

© Sabrent
© Sabrent

Fiche technique du Sabrent Rocket Q

Grande capacité oblige, les Rocket Q peuvent largement dépasser votre budget SSD et le modèle 8 To se négocie plus ou moins 1 300 euros. Il reste l’un des moins coûteux de sa catégorie et il est toujours possible de se rabattre sur moins « ambitieux » : le 500 Go est à environ 70 euros par exemple. Attention, l’approvisionnement est parfois difficile et les prix très variables : la version 4 To ne doit pas vous coûter plus de 850 €.

Le Sabrent Rocket Q, c’est :

  • Format : NVMe M.2 2280
  • Interface : PCIe NVMe Gen 3 4x
  • Contrôleur : Phison PS5012-E12S
  • Puces mémoire : Micron QLC 3D sur 96 couches
  • Capacité : 500 Go, 1 To, 2 To, 4 To ou 8 To
  • Endurance annoncée en écriture : 120 To (version 500 Go), 260 To (version 1 To), 530 To (version 2 To), 940 To (version 4 To) ou 1 800 To (version 8 To)
  • Débits annoncés en lecture séquentielle : 2 000 Mo/s (version 500 Go), 3 200 Mo/s (versions 1 To, 2 To, 4 To) ou 3 300 Mo/s (version 8 To)
  • Débits annoncés en écriture séquentielle : 1 000 Mo/s (version 500 Go), 2 000 Mo/s (version 1 To), 3 000 Mo/s (version 2 To, 4 To) ou 2 900 Mo/s (version 8 To)
  • Dimensions : 22 x 80 x 15 mm (500 Go, 1 To) ou 22 x 80 x 30 mm (2 To, 4 To, 8 To)
  • Température opérationnelle : entre 0°C et 70°C
  • Logiciel : oui, Rocket Control Panel
  • Prise en charge du Trim : oui
  • Garantie constructeur : 5 ans, après enregistrement du produit (1 an sinon)
  • Prix et disponibilité : déjà disponible, à 69,99 € (version 500 Go), 129,99 € (version 1 To), 229,99 € (version 2 To), 799,99 € (version 4 To) ou 1299,99 € (version 8 To)

En dehors de ses capacités assez extraordinaires, le Rocket Q est en apparence un SSD PCIe NVMe classique. « Simple » Gen 3, il ne peut évidemment se mesurer aux modèles les plus performants, mais semble toutefois prendre l’avantage sur le MP400 de Corsair côté endurance en écriture, une donnée de plus en plus observée à mesure que la mémoire QLC se développe : 940 To sur le Rocket Q 4 To alors que le MP400 se contentait de 800 To pour la même capacité.

Sabrent Rocket Q © Nerces
Les deux faces de notre Rocket Q 4 To sont couvertes d'un autocollant « thermique » © Nerces pour Clubic
Les deux faces de notre Rocket Q 4 To sont couvertes d'un autocollant « thermique » © Nerces pour Clubic

Contrôleur Phison E12S et mémoire Micro QLC 3D 96 couches

Comme à son habitude, Sabrent livre le SSD dans une toute petite boîte en carton à l’intérieur de laquelle on trouve un coffret métallique. Le Rocket Q est logé au creux de ce dernier, dans une gangue de plastique pour éviter tout déplacement. C’est propre, c’est sérieux et aucun risque que le SSD n’arrive endommagé chez le client. À l’intérieur de la boîte, on trouve également une minuscule notice d’utilisation et un petit carton de maintien. En revanche, pas le moindre dissipateur thermique. Sabrent ne propose plus cet accessoire que sur les modèles les plus rapides et encore, il ne le fait qu’en option.

Dégagé de son emballage, le SSD Rocket Q se présente sous une forme on ne peut plus classique. Rien ne ressemble effectivement plus à un SSD NVMe qu’un autre SSD NVMe. Il s’agit donc d’un modèle au format M.2 dit 2280, une valeur qui se réfère aux dimensions de l’objet : 22 millimètres de large pour 80 mm de long. L’épaisseur varie sensiblement selon le modèle de Rocket Q : 1,5 mm pour les « petites » capacités (500 Go ou 1 To) et un chouia moins de 3 mm pour les plus grandes (2 To, 4 To ou 8 To). Rien de très étonnant : les grandes capacités impliquent de placer des puces mémoire sur les deux faces du SSD.

Ici photographié par Anand Tech, le contrôleur Phison rebrandé et son cache Kingston © Billy Tallis
Ici photographié par Anand Tech, le contrôleur Phison rebrandé et son cache Kingston © Billy Tallis

Une précision qui peut avoir son importance au moment de placer le SSD dans son emplacement : sur certaines cartes mères cela suppose de retirer une vis supplémentaire quand cela peut tout simplement poser un problème de compatibilité avec divers accessoires comme le ToughArmor MB840MP2-B que nous testions il y a peu. Peu importe la version retenue, il est en revanche toujours question du même type de mémoire : de la Micron QLC 3D sur 96 couches, la même qui équipait le Corsair MP400. Sans que l’on puisse l’expliquer, en utilisant la même mémoire, Sabrent évoque une endurance plus importante.

Rappelons effectivement les 960 To avancés par Sabrent sur notre modèle de 4 To quand Corsair « se contente » de 800 To. Rappelons également que Sabrent garantit ses SSD 5 ans après enregistrement du produit ou 1 an sinon sachant, bien sûr, que la loi européenne protège toujours l’utilisateur durant 2 ans minimum. Enfin, précisons que la prise en charge d’un SSD s’arrête toujours au premier des deux termes échus : endurance ou garantie. Terminons ce tour d’horizon par un coup d’œil sur le contrôleur du Rocket Q. Sabrent n’a pas fait dans l’originalité en retenant le Phison PS5012-E12S, un modèle connu et apprécié des utilisateurs de SSD NVMe Gen 3x. Une valeur sûre.

Pensez à bien lui adjoindre un dissipateur thermique © Nerces pour Clubic
Pensez à bien lui adjoindre un dissipateur thermique © Nerces pour Clubic

Débits en lecture / écriture et échauffement

Configuration de test

  • Carte-mère Asus ROG Crosshair VIII Hero
  • Processeur AMD Ryzen 9 3900X
  • Mémoire Corsair Dominator Platinum RGB 32 Go DDR4 4000 CL19
  • Carte graphique Asus TUF RTX 3080 Gaming OC
  • SSD système Sabrent Rocket 4.0 2 To
  • Refroidissement Corsair iCUE H150i RGB Pro XT 360mm

En employant des puces mémoires et un contrôleur identique à ceux du Corsair MP400, le Sabrent Rocket Q doit logiquement proposer des performances similaires. Sur le papier en tout cas, on note un petit avantage pour Corsair en lecture séquentielle (3,48 Go/s contre 3,2 Go/s) alors que les débits en écriture séquentielle ne varient pas.

Débits mesurés avec ATTO Disk Benchmark
Débits mesurés avec ATTO Disk Benchmark

Nous débutons comme d’habitude avec ATTO Disk Benchmark, un outil de mesure synthétique qui a le bon goût de tester les débits de manière précise en fonction de la quantité de données qui transitent. Là, il n’y a guère de surprise et les performances enregistrées sont très proches de celles du MP400 de Corsair. On remarquera une (légère) avance pour le Rocket Q jusqu’à 8 Ko. Ensuite, sur des fichiers plus gros, les résultats sont rigoureusement identiques, en lecture comme en écriture.

Débits mesurés avec CrystalDiskMark
Débits mesurés avec CrystalDiskMark

Notre protocole de test embraye ensuite sur CrystalDiskMark, un autre grand nom du test synthétique qui affiche lui aussi des résultats très similaires entre le MP400 et le Rocket Q. En séquentiel, c’est pour ainsi dire la même chose, mais nous soulignerons tout de même un léger avantage pour le modèle Sabrent en aléatoire. Les 4% de mieux obtenus en lecture ne sont pas faramineux, mais en écriture on atteint tout de même +7,5%.

Débits observés en écriture sur une copie « simple » via Windows 10
Débits observés en écriture sur une copie « simple » via Windows 10

Comme d’habitude, nous clôturons ces tests de débit par des mesures pratiques. Nous réalisons ici divers tests et vous présentons ceux de la copie de fichiers via l’Explorateur de Windows 10. Là, le Rocket Q fait jeu égal avec le Corsair MP400. Quand ce dernier atteint 1,88 Go/s sur nos fichiers de test, le Rocket Q plafonne à 1,86 Go/s. Notez qu’il s’agit d’un test d’écriture. En lecture, le Sabrent flirte avec les 2,1 Go/s. De très bonnes performances pour un SSD NVMe PCIe Gen 3.

Au moment du test du Corsair MP400, nous n’en avions pas encore l’habitude, mais nous réalisons maintenant toujours un test d’écriture linéaire avec AIDA64 : il s’agit de saturer la totalité du SSD et de renvoyer, sans discussion possible, la moindre chute de débit. L’idée est alors de mettre en évidence l’usage d’un cache de « pseudo SLC » afin de dynamiser les performances du disque. Une technique commune – surtout avec la mémoire QLC – qui peut cacher des disparités.

Test d'écriture sur la totalite du SSD avec AIDA64
Test d'écriture sur la totalite du SSD avec AIDA64

Dans le cas du Rocket Q, il n’y a finalement pas lieu de s’inquiéter, même si la courbe présentée par AIDA64 montre un effondrement assez dramatique des performances dès lors que l’on dépasse les 40% de capacité. En réalité, c’est assez normal : il s’agit simplement de montrer que le cache ne soutient plus les débits dès lors que l’on écrit – en une fois – plus de 1 400 Go de données. On passe alors de plus de 1,8 Go/s à environ 320 Mo/s.

Vous noterez que par rapport à d’autres SSD à mémoire QLC, même lorsque le cache est saturé, le Rocket Q est capable de garder des débits plus de deux fois supérieurs à ceux d’un disque dur traditionnel. Vous noterez surtout que très peu d’usages viendront « déborder » ce cache : on ne copie pas tous les jours et d’un seul tenant plus de 1 To de données ! Enfin, rappelons que cette gestion du cache est liée à la capacité du SSD : le cache est moins important sur un 2 To que sur notre 4 To par exemple.

Sabrent Rocket Q © Nerces

Enfin, comme c’est le cas pour n’importe quel SSD, nous concluons ces mesures par une observation du dégagement thermique du Rocket Q. Sans surprise, le produit de Sabrent a tendance à s’échauffer très rapidement et comme ce fut le cas avec le Corsair MP400, il n’est pas jouable de le laisser « nu », sans le moindre refroidissement dans le PC. Dans de telles circonstances, il dépasse en quelques minutes seulement les 70°C et le throttling fait alors chuter les débits. En revanche, avec le « bête » dissipateur de notre carte mère, la température ne grimpe jamais au-dessus des 60°C en charge alors qu’elle stagne à 29°C au repos. Des valeurs tout à fait raisonnables.

Une interface qui manque d'un « je ne sais quoi » d'élégance... © Nerces pour Clubic
Une interface qui manque d'un « je ne sais quoi » d'élégance... © Nerces pour Clubic

Rocket Control Panel : un brin rudimentaire

Tous les SSD de la marque Sabrent sont livrés avec une clé pour Acronis True Image, le très bon logiciel de création / gestion d’images disques. Par ailleurs, Sabrent distribue aussi le Sector Size Converter dont l’objectif est de basculer la taille des secteurs du disque de 4Kn vers 512e et inversement dans le cas de situation de clonage par exemple. Deux outils qui n’intéresseront donc pas tout le monde, mais qui peuvent se montrer bien pratique. À côté, Sabrent livre aussi le Rocket Control Panel, son interface de gestion des SSD NVMe.

... mais qui propose les outils essentiels © Nerces pour Clubic
... mais qui propose les outils essentiels © Nerces pour Clubic

Les outils indispensables sont réunis dans ce logiciel qui permet bien sûr d’afficher toutes les informations essentielles liées au SSD : données S.M.A.R.T., suivi de la température, gestion du Trim et « santé » du disque. Une option de mise à jour du micrologiciel est également présente, mais Sabrent ne propose en revanche aucun outil dédié aux performances du SSD et ne donne pas clairement le nombre d’octets déjà écrits. Enfin, l’interface n’a pas changé d’un iota depuis notre test du Rocket NVMe PCIe 4.0 en juillet 2020 : nous avions alors souligné son côté « brut de décoffrage », Sabrent gagnerait effectivement à lisser un peu tout cela.

Sabrent distribue jusqu'au modèle 8 To, ici photographié par Serve the Home © Will Taillac
Sabrent distribue jusqu'au modèle 8 To, ici photographié par Serve the Home © Will Taillac

Sabrent Rocket Q : l’avis de Clubic

Au moment de tester le MP400, nous précisions qu’il n’était pas question pour Corsair de venir battre des records de vitesse. C’est exactement la même chose avec le Rocket Q. Sabrent travaille actuellement à la sortie du Rocket + qui visera – et devrait même dépasser – les 7 Go/s en lecture / écriture. Le Rocket Q est un modèle pensé pour la capacité de stockage.

Sabrent cherche ici à proposer le rapport capacité / prix le plus intéressant possible sans transiger sur les performances et il y parvient. Le Rocket Q est au niveau des meilleurs NVMe PCIe Gen 3, le cache est généreux et même lorsqu’il est débordé, les performances sont correctes. Disponible en de multiples versions, il propose à chaque fois des tarifs intéressants. Seul subsiste le problème de la disponibilité parfois hasardeuse surtout avec les modèles 4 To et 8 To.

8

S'il ne prétend pas révolutionner les performances du SSD NVMe, le Rocket Q est un modèle qui vient un peu plus démocratiser les grandes capacités. Bien sûr, il faut encore ouvrir largement le portefeuille pour acquérir un 4 To ou un 8 To, mais le rapport capacité / prix est chaque jour plus intéressant.

Les plus

  • Bon rapport capacité / prix
  • Des débits de bon niveau
  • De 500 Go à 8 To
  • Garantie jusqu'à 5 ans
  • Cache bien géré
  • Acronis True Image livré

Les moins

  • Endurance en retrait
  • Dissipateur indispensable
  • Interface logicielle à revoir
  • De grandes capacités qui restent onéreuses
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Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.

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Commentaires (7)

louchi
Merci pour le test.<br /> Par contre le lien Amazon ne fonctionne plus.<br /> Sinon, c’est bien, les SSD NVMe, mais ça chauffe beaucoup et donc le débit chute et peut parfois même faire lagger l’OS.<br /> Perso, j’avais un Crucial de base dans un mini PC, et j’ai été obligé de le remplacer par un SSD 2.5, car il faisait freezer mes installs, même Linux, lors du’une simple copie de fichiers.<br /> Et mon mini PC a perdu 20 °C…donc il est maintenant super silencieux.<br /> Donc, oui, je pense que ce genre de SSD NVMe est sympa, mais pour un PC avec un bon refroidissement.<br /> Et puis, c’est bien d’avoir de tels débits, mais si, en face, on veut transférer des données, il faut que ça suive…sur un disque externe, SATA ou pas, ça sera limité.
SPH
«&nbsp;Le Rocket Q est lové au creux de ce dernier&nbsp;» <br /> «&nbsp;Logé&nbsp;» plûtot…
Nerces
SPH:<br /> lové<br /> Corrigé, merci… Remarque «&nbsp;lové&nbsp;», ça serait rigolo pour un SSD : il ne serait plus très fonctionnel, mais rangé avec amour
Nerces
Oui, un NVMe, ça chauffe. C’est surtout vrai dès lors que les débits peuvent atteindre les 3 Go/s. Les modèles moins rapides, chauffent généralement moins.<br /> Comme je le précise dans l’article, il faut prévoir un dissipateur sur ces SSD NVMe et l’idéal est, bien sûr, qu’un flux d’air - même léger - passe au-dessus.
DirtyShady
Moi mon PC est super bien refroidis et mon SSD Samsung 970 PRO monte vraiement pas haut en température, un vrai bonheur.
thudner-aurel
Je suis surpris de voir des modèles aussi chers proposés sans PCIE 4.0 ?!
Felaz
C’est corrigé pour le lien Amazon, merci
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