La nouvelle gamme de téléviseurs de Samsung fait ses débuts sur le marché ces jours-ci, suite à sa présentation au mois de janvier au CES 2015.
Après une présentation partielle au CES, la division États-Unis de Samsung a publié la semaine dernière un communiqué de presse détaillant la composition des nouvelles séries de téléviseurs (les diagonales proposées), les date de lancement et les prix des différents modèles pour le marché américain. Si nous relayons souvent les lancements de produits aux États-Unis, nous évitons avec les téléviseurs car les gammes varient souvent beaucoup d'un marché à un autre.
Mais le communiqué américain est l'occasion de découvrir que la collection 2015 de téléviseurs Samsung est disponible depuis peu en France, bien que Samsung France n'ait pas communiqué à ce sujet. C'est donc le moment de passer en revue les séries.
JS9500 : Samsung se lance dans le luxe, et dans le rétro-éclairage local
Avec le nouveau vaisseau amiral de la promotion 2015, le JS9500, Samsung investit le segment du très haut de gamme. Ces téléviseurs dits SUHD, parés pour la future Ultra HD phase 2, à dalles Ultra HD Quantum Dots incurvées, à rétro-éclairage local Direct LED, à colorimétrie Nano Crystal et à technologie HDR Peak Illuminator Ultimate sont très onéreux quelle que soit la diagonale :
Samsung UE65JS9500 de 65 pouces, disponible, 7 000 euros
Samsung UE78JS9500 de 78 pouces, disponible, 12 000 euros
Samsung UE88JS9500 de 88 pouces, visiblement exclusivement sur commande, 25 000 euros
JS9000 : le SUHD à rétro-éclairage global
Un cran en dessous, la série JS9000 donne accès à la gamme SUHD à des tarifs à peine plus abordables, au détriment du rétro-éclairage direct. On repasse sur un rétro-éclairage à LED en périphérie, sur du HDR Peak Illuminator Pro, mais on maintient la colorimétrie Nano Crystal et l'incurvé
Samsung UE55JS9000 de 55 pouces, disponible, 3 800 euros
Samsung UE48JS9000 de 48 pouces, maintient incertain, 3 000 euros
JS8500 : finalement du SUHD non incurvé ?
Samsung s'est bien gardé de nous l'avouer au CES, mais il devrait finalement proposer une alternative SUHD très haut de gamme aux réfractaires à l'incurvé. L'Ultra HD, la colorimétrie Quantum Dots (Nano Crystal) et le HDR (Peak Illuminator Pro) seront disponible sur un modèle plat, un seul :
Samsung UE48JS8500 de 48 pouces, disponible, 2 600 euros
JU7500, JU7000 : l'Ultra HD phase 1
On quitte le très haut de gamme et on revient à du haut de gamme plus conventionnel à partir de la série JU7500 incurvée, déclinée en plat avec la série JU7000. Il n'y a plus de technologie Quantum Dots à ce stade, donc on revient à une colorimétrie et à une plage dynamique plus conventionnels, appelées PurColor et Peak Illuminator, adaptées à l'actuelle phase 1 de l'Ultra HD.
Samsung UE78JU7500 de 78 pouces, disponible, 7 600 euros
Samsung UE65JU7500 de 65 pouces, disponible, 4 000 euros
Samsung UE55JU7500 de 55 pouces, disponible, 2 400 euros
Samsung UE48JU7500 de 48 pouces, disponible, 1 900 euros
Samsung UE75JU7000 de 75 pouces, disponible, 6 000 euros
Samsung UE65JU7000 de 65 pouces, disponible, 3 600 euros
Samsung UE40JU7000 de 40 pouces, disponible, 1 400 euros
En dessous, des références distinctes mais identiques
Enfin, il existe encore d'autres nouveautés Ultra HD et Full HD, mais Samsung est complice du jeu des grands distributeurs, qui réclament des références exclusives pour ne pas se confronter les uns aux autres dans les comparateurs de prix ou au jeu du « on vous rembourse la différence si vous trouvez moins cher ailleurs ». Nous n'entrerons pas dans ce jeu et invitons les consommateurs à une grande vigilance sur ces séries JU6000, J6000 et J5000. Il n'y a pas spécialement de pièges ou de subtilités techniques, il faut seulement penser à comparer les séries identiques mais aux références distinctes chez différents marchands.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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