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En partenariat avec la société Gracenote, connue pour ses services CDDB (CD Database), le portail américain ! propose aujourd'hui l'accès gratuit aux paroles de plus de 400.000 titres issus des plus grandes maisons de disque. Les modalités du contrat, qui n'ont pas été révélées, semblent toutefois limiter la portée de celui-ci au continent nord-américain. Pour les deux associés, l'objectif est de proposer une alternative légale, attractive et gratuite aux nombreux sites qui hébergent illégalement les paroles de chanson. Ici, le service est financé par la publicité, dont les recettes seront partagées entre Yahoo!, Gracenote et les maisons de disque.
Depuis des années, les ayant-droits font la guerre aux sites Web et autres logiciels qui permettent de récupérer gratuitement les paroles d'une chanson. Ils estiment que ceux qui mettent à disposition des internautes les textes des chansons dont ils détiennent les droits violent leur propriété intellectuelle et tentent régulièrement de mettre fin à leurs activités. Avec un succès tout relatif, puisque certains de ces sites sont hébergés dans des pays où l'on considère le droit d'auteur de façon assez laxiste.
Dès lors, une offre légale, financée par la publicité, apparait comme une alternative viable, comme en témoigne le nombre important - plus d'une centaine - de studios ayant accepté de participer à ce coup d'essai. Les grands noms du secteur, tels que BMG, EMI, Sony, Universal Music ou Warner/Chappell Music, contribuent à cette base de données de paroles incluant 9.000 artistes, des Beatles à Dylan en passant par Justin Timberlake ou Radiohead. Craig Palmer, directeur exécutif de Gracenote, affirme que ce type d'accord sous licence pourrait permettre à l'industrie de disque de générer jusqu'à 100 millions de dollars de recette par an d'ici dix ans.
Depuis des années, les ayant-droits font la guerre aux sites Web et autres logiciels qui permettent de récupérer gratuitement les paroles d'une chanson. Ils estiment que ceux qui mettent à disposition des internautes les textes des chansons dont ils détiennent les droits violent leur propriété intellectuelle et tentent régulièrement de mettre fin à leurs activités. Avec un succès tout relatif, puisque certains de ces sites sont hébergés dans des pays où l'on considère le droit d'auteur de façon assez laxiste.
Dès lors, une offre légale, financée par la publicité, apparait comme une alternative viable, comme en témoigne le nombre important - plus d'une centaine - de studios ayant accepté de participer à ce coup d'essai. Les grands noms du secteur, tels que BMG, EMI, Sony, Universal Music ou Warner/Chappell Music, contribuent à cette base de données de paroles incluant 9.000 artistes, des Beatles à Dylan en passant par Justin Timberlake ou Radiohead. Craig Palmer, directeur exécutif de Gracenote, affirme que ce type d'accord sous licence pourrait permettre à l'industrie de disque de générer jusqu'à 100 millions de dollars de recette par an d'ici dix ans.
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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