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Une poignée de pays européens auraient réussi à détrôner les Etats-Unis qui occupaient l'an dernier la première place du classement des nations les mieux équipées en matière de technologies de l'information et de la communication. Le palmarès annuel du World Economic Forum en matière de nouvelles technologies, le Global Information Technology Report, sacre en effet cette année les trois pays que sont le Danemark, la Suède et Singapour. Les Etats-Unis passent de la première à la sixième place.
Les différents pays pris en compte sont comparés au regard de trois critères : la santé économique générale du pays, les infrastructures et le cadre réglementaire liés aux nouvelles technologies de l'information et de la communication ainsi que la propension des individus, des sociétés et de l'état à tirer parti du potentiel de ces nouvelles technologies. Manifestement, la France affiche un certain retard puisque ce classement la place en 23e position, loin derrière ses voisins directs comme la Suisse (5e), le Royaume-Uni (9e) ou l'Allemagne (16e).
D'après le rapport du World Economic Forum, le succès du Danemark s'expliquerait par l'aptitude de son gouvernement à se concentrer sur la pénétration des nouvelles technologies au sein de la population, ce qui aurait permis d'atteindre un pourcentage important de foyers connectés à Internet et équipés en matériel informatique. La France comptait d'après l'Arcep 12,7 millions d'abonnements haut débit au 31 décembre 2006, pour un taux d'équipement en matière de micro-informatique qui devrait dépasser 60% d'ici la fin de l'année.
|clubic|A quelques semaines des élections présidentielles, un groupe de dirigeants d'entreprise et de personnalités de l'Internet français a décidé de se regrouper en un « club » baptisé Renaissance Numérique afin de redonner à la France la place de « champion du numérique » qui devrait être la sienne. Dans un livre blanc publié fin mars, il a formulé quinze propositons visant à dynamiser l'économie du numérique en France, en passant notamment par l'équipement et la formation du grand public, des campagnes de communication et de formation ou le recyclage des machines non utilisées avec comme objectif de parvenir à un taux de 80% de PC connectés.|fin|
Consulter le classement du Global Information Technology Report.
Les différents pays pris en compte sont comparés au regard de trois critères : la santé économique générale du pays, les infrastructures et le cadre réglementaire liés aux nouvelles technologies de l'information et de la communication ainsi que la propension des individus, des sociétés et de l'état à tirer parti du potentiel de ces nouvelles technologies. Manifestement, la France affiche un certain retard puisque ce classement la place en 23e position, loin derrière ses voisins directs comme la Suisse (5e), le Royaume-Uni (9e) ou l'Allemagne (16e).
D'après le rapport du World Economic Forum, le succès du Danemark s'expliquerait par l'aptitude de son gouvernement à se concentrer sur la pénétration des nouvelles technologies au sein de la population, ce qui aurait permis d'atteindre un pourcentage important de foyers connectés à Internet et équipés en matériel informatique. La France comptait d'après l'Arcep 12,7 millions d'abonnements haut débit au 31 décembre 2006, pour un taux d'équipement en matière de micro-informatique qui devrait dépasser 60% d'ici la fin de l'année.
|clubic|A quelques semaines des élections présidentielles, un groupe de dirigeants d'entreprise et de personnalités de l'Internet français a décidé de se regrouper en un « club » baptisé Renaissance Numérique afin de redonner à la France la place de « champion du numérique » qui devrait être la sienne. Dans un livre blanc publié fin mars, il a formulé quinze propositons visant à dynamiser l'économie du numérique en France, en passant notamment par l'équipement et la formation du grand public, des campagnes de communication et de formation ou le recyclage des machines non utilisées avec comme objectif de parvenir à un taux de 80% de PC connectés.|fin|
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Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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