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Selon the Independant, Skype aurait refusé une offre de rachat de 3 milliards de dollars faite par le groupe de média News Corps, dirigé par Rupert Murdoch.
Le Google européen a le sang froid. Selon le quotidien britannique "the Independant", les dirigeants de la société Skype auraient refusé une offre de rachat de 3 milliards de dollars (2,43 milliards d'euros) faite par le groupe de média News Corps, dirigé par Rupert Murdoch.
Il y a quelques mois, une première rumeur avait évoqué une offre de rachat d'un milliard de dollars, faite par un grand nom de l'internet américain (probablement ou Google), également refusée par Skype.
Fondée par Niklas Zennstrom, un entreprenaute suédois déjà à l'origine de Kazaa ou AltNet et ancien salarié de Tele2, Skype semble bien décidé à poursuivre son ascension afin de devenir, au même titre que Google, MSN ou yahoo, un grand nom du web. Reste à savoir si la société, basée au Luxembourg, entrera en bourse et si elle diversifiera ses activités à des domaines comme la messagerie électronique ou la recherche sur le web.
Le Google européen a le sang froid. Selon le quotidien britannique "the Independant", les dirigeants de la société Skype auraient refusé une offre de rachat de 3 milliards de dollars (2,43 milliards d'euros) faite par le groupe de média News Corps, dirigé par Rupert Murdoch.
Il y a quelques mois, une première rumeur avait évoqué une offre de rachat d'un milliard de dollars, faite par un grand nom de l'internet américain (probablement ou Google), également refusée par Skype.
Fondée par Niklas Zennstrom, un entreprenaute suédois déjà à l'origine de Kazaa ou AltNet et ancien salarié de Tele2, Skype semble bien décidé à poursuivre son ascension afin de devenir, au même titre que Google, MSN ou yahoo, un grand nom du web. Reste à savoir si la société, basée au Luxembourg, entrera en bourse et si elle diversifiera ses activités à des domaines comme la messagerie électronique ou la recherche sur le web.
