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Les principaux moteurs de recherche et gestionnaires de blogs trouvent une parade pour bloquer les liens de spammeurs d'espaces d'expression libre.
Les trois poids lourds américains des technologies de recherche et de la messagerie électronique, Google, ! et MSN s'adaptent pour bloquer le "comment spam".
Le "comment spam" ne concerne pas l'e-mail, il consiste pour le spammeur à placer ses liens parasites dans les espaces d'expression libre (commentaires, forums de discussion, etc.) des blogs - sites personnels d'informations variées, à la fois quotidiens officieux et journaux intimes.
L'objectif pour les spammeurs est de s'assurer que leurs liens vers des sites à caractère commercial parfois frauduleux, soient repérés le plus grand nombre de fois par les moteurs afin d'apparaître en tête des résultats de recherche ("PageRank", classement des pages en fonction de leur popularité).
Afin de lutter contre ce nouveau fléau numérique qui décrédibilise les blogs et les moteurs, la direction de Google Inc a déclaré le 18 janvier 2005 avoir développé et testé une nouvelle balise ou tag, "rel=nofollow".
Intégrée automatiquement au code html des pages d'un blog, la balise "ne pas suivre" indique que les liens postés ne doivent pas être indexés par les moteurs.
Ces liens seront toujours visibles et cliquables par l'internaute qui visite le blog en question. En revanche, les moteurs n'iront pas visiter le lien afin de limiter le succès du lien parasite dans les résultats de recherche.
"C'est juste un moyen de nous assurer que les spammeurs ne tireront aucun bénéfice de l'exploitation abusive des espaces d'expression libre comme les zones de commentaires des blogs, les 'trackbacks' et les listes", assure Google (www.google.com/googleblog/).
La référence incontestée des moteurs de recherche sur Internet a été entendue. Ses concurrents Yahoo! et MSN, ainsi que les principaux fournisseurs d'outils de publication de weblogs (Blogger, Typepad, etc.), ont fait savoir qu'ils suivraient le mouvement.
Cette démarche qui semble louable va-t-elle entraîner la "balkanisation du web", à savoir un web de groupes limités et non "pour tous" ?
Les trois poids lourds américains des technologies de recherche et de la messagerie électronique, Google, ! et MSN s'adaptent pour bloquer le "comment spam".
Le "comment spam" ne concerne pas l'e-mail, il consiste pour le spammeur à placer ses liens parasites dans les espaces d'expression libre (commentaires, forums de discussion, etc.) des blogs - sites personnels d'informations variées, à la fois quotidiens officieux et journaux intimes.
L'objectif pour les spammeurs est de s'assurer que leurs liens vers des sites à caractère commercial parfois frauduleux, soient repérés le plus grand nombre de fois par les moteurs afin d'apparaître en tête des résultats de recherche ("PageRank", classement des pages en fonction de leur popularité).
Afin de lutter contre ce nouveau fléau numérique qui décrédibilise les blogs et les moteurs, la direction de Google Inc a déclaré le 18 janvier 2005 avoir développé et testé une nouvelle balise ou tag, "rel=nofollow".
Intégrée automatiquement au code html des pages d'un blog, la balise "ne pas suivre" indique que les liens postés ne doivent pas être indexés par les moteurs.
Ces liens seront toujours visibles et cliquables par l'internaute qui visite le blog en question. En revanche, les moteurs n'iront pas visiter le lien afin de limiter le succès du lien parasite dans les résultats de recherche.
"C'est juste un moyen de nous assurer que les spammeurs ne tireront aucun bénéfice de l'exploitation abusive des espaces d'expression libre comme les zones de commentaires des blogs, les 'trackbacks' et les listes", assure Google (www.google.com/googleblog/).
La référence incontestée des moteurs de recherche sur Internet a été entendue. Ses concurrents Yahoo! et MSN, ainsi que les principaux fournisseurs d'outils de publication de weblogs (Blogger, Typepad, etc.), ont fait savoir qu'ils suivraient le mouvement.
Cette démarche qui semble louable va-t-elle entraîner la "balkanisation du web", à savoir un web de groupes limités et non "pour tous" ?
