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Le succès du rachat des titres Wanadoo pousse à opter pour une fusion avec sa filiale internet. La privatisation est proche
France Telecom bientôt privatisée ? Suite au succès du rachat des titres Wanadoo, dont il détient désormais 99.25% des droits de vote, le conseil d'administration de France Telecom a opté pour une fusion avec sa filiale internet.
Cette opération, qui devrait se traduire par le paiement de 1,805 milliard d'euros en numéraire et par l'émission de 64,8 millions d'actions nouvelles pour un montant total d'environ 3 milliards d'euros devrait faire passer la part de l'Etat Français de 58.89% à 50.41% selon une estimation du journal LaTribune.
A la suite de la décision du Conseil d'Administration, Thierry Breton, Président Directeur Général de France Télécom a déclaré : "L'intégration de Wanadoo au sein de France
Télécom permettra d'accélérer la mise en oeuvre de son programme pour le haut débit en Europe et dégagera des synergies opérationnelles. Avec cette décision, le Groupe est en marche vers son ambition d'opérateur intégré dans l'intérêt des actionnaires, des clients et des salariés des deux sociétés. "
Les OPR consécutives sur Orange et Wanadoo s'inscrivent en tout cas pour France Telecom dans une stratégie industrielle cohérente qui devrait lui permettre, après une année consacrée à son désendettement, de faire face aux offensives tarifaires des opérateurs alternatifs tels que Neuf Telecom, Free, Cegetel ou encore Tele2 voire à envisager de nouvelles opérations de fusion/acquisition à l'étranger, à condition que l'Etat accepte de passer sous le seuil symbolique des 50% du capital de l'opérateur.
Mais bousculé par un calendrier politique chargé, le gouvernement Raffarin pourrait ne pas prendre la décision d'une privatisation de France Telecom, laissant ce dossier, ainsi que celui de la privatisation d'EDF, à la probable nouvelle équipe gouvernementale qui pourrait être nommée après l'échéance des élections européennes en juin prochain.
France Telecom bientôt privatisée ? Suite au succès du rachat des titres Wanadoo, dont il détient désormais 99.25% des droits de vote, le conseil d'administration de France Telecom a opté pour une fusion avec sa filiale internet.
Cette opération, qui devrait se traduire par le paiement de 1,805 milliard d'euros en numéraire et par l'émission de 64,8 millions d'actions nouvelles pour un montant total d'environ 3 milliards d'euros devrait faire passer la part de l'Etat Français de 58.89% à 50.41% selon une estimation du journal LaTribune.
A la suite de la décision du Conseil d'Administration, Thierry Breton, Président Directeur Général de France Télécom a déclaré : "L'intégration de Wanadoo au sein de France
Télécom permettra d'accélérer la mise en oeuvre de son programme pour le haut débit en Europe et dégagera des synergies opérationnelles. Avec cette décision, le Groupe est en marche vers son ambition d'opérateur intégré dans l'intérêt des actionnaires, des clients et des salariés des deux sociétés. "
Les OPR consécutives sur Orange et Wanadoo s'inscrivent en tout cas pour France Telecom dans une stratégie industrielle cohérente qui devrait lui permettre, après une année consacrée à son désendettement, de faire face aux offensives tarifaires des opérateurs alternatifs tels que Neuf Telecom, Free, Cegetel ou encore Tele2 voire à envisager de nouvelles opérations de fusion/acquisition à l'étranger, à condition que l'Etat accepte de passer sous le seuil symbolique des 50% du capital de l'opérateur.
Mais bousculé par un calendrier politique chargé, le gouvernement Raffarin pourrait ne pas prendre la décision d'une privatisation de France Telecom, laissant ce dossier, ainsi que celui de la privatisation d'EDF, à la probable nouvelle équipe gouvernementale qui pourrait être nommée après l'échéance des élections européennes en juin prochain.
