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Le Département US de la justice a signalé jeudi la saisie de 200 serveurs dans le cadre d'une investigation contre le piratage internationale sur Internet.
Le 22 avril 2004, John ASHCROFT, « Attorney General » en charge du Département américain de la justice (www.usdoj.gov), a signalé la saisie de 200 serveurs dans le cadre d'une investigation internationale.
« Nous sommes passés à l'offensive pour frapper le coeur même de l'univers du piratage international sur Internet », a déclaré John ASHCROFT.
Le matériel saisi est censé appartenir à « des groupes spécialisés dans la diffusion de logiciels, musique et films sous copyright avant leur sortie officielle », a précisé le Département américain de la justice.
Le plus souvent, une fois le fichier numérique mis à disposition du groupe, il est diffusé sur Internet à travers des sites P2P (peep-to-peer), comme Kazaa ou Morpheus, spécialisés dans l'échange gratuit de fichiers audio et vidéo.
Selon le Département de la Justice, les serveurs saisis contenaient « des centaines de milliers de fichiers numériques copiés illégalement, pour un montant global estimé à plus de 50 millions de dollars. »
Le FBI (Federal Bureau of Investigation) a mené son enquête dans 25 des 50 Etats américains, et les autorités nationales concernées en : Allemagne, Belgique, Danemark, France, Hongrie, Israël, aux Pays-Bas, Royaume-Uni, en Suède et à Singapour.
Selon les douanes américaines, les groupes organisés, composés d'informaticiens et de techniciens du soft et du hardware, seraient à l'origine de 95% des fichiers piratés disponibles en ligne.
Le Département américain de la justice a rappelé jeudi que les personnes poursuivies aux Etats-Unis pour ce type de délit encourent des peines pouvant aller jusqu'à cinq ans d'emprisonnement.
Le 22 avril 2004, John ASHCROFT, « Attorney General » en charge du Département américain de la justice (www.usdoj.gov), a signalé la saisie de 200 serveurs dans le cadre d'une investigation internationale.
« Nous sommes passés à l'offensive pour frapper le coeur même de l'univers du piratage international sur Internet », a déclaré John ASHCROFT.
Le matériel saisi est censé appartenir à « des groupes spécialisés dans la diffusion de logiciels, musique et films sous copyright avant leur sortie officielle », a précisé le Département américain de la justice.
Le plus souvent, une fois le fichier numérique mis à disposition du groupe, il est diffusé sur Internet à travers des sites P2P (peep-to-peer), comme Kazaa ou Morpheus, spécialisés dans l'échange gratuit de fichiers audio et vidéo.
Selon le Département de la Justice, les serveurs saisis contenaient « des centaines de milliers de fichiers numériques copiés illégalement, pour un montant global estimé à plus de 50 millions de dollars. »
Le FBI (Federal Bureau of Investigation) a mené son enquête dans 25 des 50 Etats américains, et les autorités nationales concernées en : Allemagne, Belgique, Danemark, France, Hongrie, Israël, aux Pays-Bas, Royaume-Uni, en Suède et à Singapour.
Selon les douanes américaines, les groupes organisés, composés d'informaticiens et de techniciens du soft et du hardware, seraient à l'origine de 95% des fichiers piratés disponibles en ligne.
Le Département américain de la justice a rappelé jeudi que les personnes poursuivies aux Etats-Unis pour ce type de délit encourent des peines pouvant aller jusqu'à cinq ans d'emprisonnement.
