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Le "OO spirit" est de retour. Au lendemain de l'annonce du rachat du Comparateur de prix BuyCentral par le groupe Lycos, le groupe français Kelkoo, également spécialisé dans les guides d'achat sur le web, a annoncé son intention d'entrer en bourse dès cet été.
Rassuré par l'introduction en bourse réussie d'Iliad, Kelkoo qui a déjà levé plus de 50 millions d'euros de capital risque depuis sa création en 1999, serait encore en train de rechercher des banques d'affaires pour l'accompagner dans cette nouvelle étape clef de son développement.
Avec un chiffre d'affaires de 42.5 M€ en 2003 et une implantation sur les principaux marchés européens, la société est incontestablement une réussite commerciale mais va devoir désormais convaincre sur un autre terrain, celui des marchés financiers, en visant une valorisation boursière de l'ordre de 500 millions d'euros.
Reste à savoir si les millions levés permettront à la société d'implanter son modèle de guide d'achat sur d'autres continents ou plus probablement de muer en portail multirecherches afin de fidéliser un bassin d'audience et ainsi mieux faire face à la concurrence des Google/Froogle, , MSN et autres Lycos, bien décidés à ne plus sous traiter le lucratif marché des liens sponsorisés. La France aura-t-elle enfin un champion global dans le online ?
Rassuré par l'introduction en bourse réussie d'Iliad, Kelkoo qui a déjà levé plus de 50 millions d'euros de capital risque depuis sa création en 1999, serait encore en train de rechercher des banques d'affaires pour l'accompagner dans cette nouvelle étape clef de son développement.
Avec un chiffre d'affaires de 42.5 M€ en 2003 et une implantation sur les principaux marchés européens, la société est incontestablement une réussite commerciale mais va devoir désormais convaincre sur un autre terrain, celui des marchés financiers, en visant une valorisation boursière de l'ordre de 500 millions d'euros.
Reste à savoir si les millions levés permettront à la société d'implanter son modèle de guide d'achat sur d'autres continents ou plus probablement de muer en portail multirecherches afin de fidéliser un bassin d'audience et ainsi mieux faire face à la concurrence des Google/Froogle, , MSN et autres Lycos, bien décidés à ne plus sous traiter le lucratif marché des liens sponsorisés. La France aura-t-elle enfin un champion global dans le online ?
