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Plus de cinq ans après la disparition de havas on line et après l'aventure avec AOL France, le groupe Vivendi Universal revient enfin dans l'accès internet grand public ! Dernier arrivé sur le marché de l'ADSL, l'opérateur alternatif Cegetel, qui dispose déjà d'une offre dédiée aux autres FAI, dévoile des offres d'accès internet très compétitives à partir de 1024 kb/s pour 26,90 euros par mois (16,90 € les trois premiers mois) et 2048 kb/s pour 36,90 € (26,90 € les trois premiers mois). Aucune offre 128k ne sera proposée.
Les clients n'acceptant pas la présélection devront majorer ces tarifs de 3 euros tandis que ceux situés en zone non dégroupée disposeront d'un accès moins rapide à 512 kb/s, également facturé à partir de 26,90 euros. Dans tous les cas, l'activation et le modem Sagem FAST 800 seront facturés 30 euros.
Revendiquant son statut de véritable opérateur et non de simple revendeur d'accès comme certains fournisseurs d'accès, le nouveau Cegetel, désormais renforcé des actifs de Telecom Développement, la filiale de la SNCF, annonce avoir investi plus de 150 millions d'euros dans son réseau DSL qui couvre désormais 40 grandes agglomérations françaises et pratiquement toutes les villes de plus de 30 000 habitants.
Tout comme , LD com ou Free, Cegetel semble désormais tout miser sur la technologie DSL avec une offre multiservices, aujourd'hui couplant téléphonie et internet et proposant à partir des prochains mois la vidéo à la demande, la télévision ou encore la téléphonie IP, avec des promesses de débit de 4 Mb/s en résidentiel dès la fin de l'année 2004.
Estimant n'être "ni en avance ni en retard" sur le marché, Cegetel devrait avant tout chercher à séduire sa base de 3,4 millions de clients au téléphone et devrait limiter sa communication externe. L'opérateur n'entend toutefois pas être absent des éventuelles consolidations du secteur de l'accès internet mais devrait toutefois se s'intéresser du marché du câble.
Longtemps malmené par les errance stratégiques de sa maison mère vivendi universal et par les promesses technologiques non tenus des équipementiers, Cegetel dispose enfin avec l'ADSL d'une technologie éprouvée pour proposer le multiservices à ses clients, associée à la promesse de la facture unique. Reste à réussir le dégroupage qui ne concerne, pour le moment, que 1% des abonnés français au téléphone...
Les clients n'acceptant pas la présélection devront majorer ces tarifs de 3 euros tandis que ceux situés en zone non dégroupée disposeront d'un accès moins rapide à 512 kb/s, également facturé à partir de 26,90 euros. Dans tous les cas, l'activation et le modem Sagem FAST 800 seront facturés 30 euros.
Revendiquant son statut de véritable opérateur et non de simple revendeur d'accès comme certains fournisseurs d'accès, le nouveau Cegetel, désormais renforcé des actifs de Telecom Développement, la filiale de la SNCF, annonce avoir investi plus de 150 millions d'euros dans son réseau DSL qui couvre désormais 40 grandes agglomérations françaises et pratiquement toutes les villes de plus de 30 000 habitants.
Tout comme , LD com ou Free, Cegetel semble désormais tout miser sur la technologie DSL avec une offre multiservices, aujourd'hui couplant téléphonie et internet et proposant à partir des prochains mois la vidéo à la demande, la télévision ou encore la téléphonie IP, avec des promesses de débit de 4 Mb/s en résidentiel dès la fin de l'année 2004.
Estimant n'être "ni en avance ni en retard" sur le marché, Cegetel devrait avant tout chercher à séduire sa base de 3,4 millions de clients au téléphone et devrait limiter sa communication externe. L'opérateur n'entend toutefois pas être absent des éventuelles consolidations du secteur de l'accès internet mais devrait toutefois se s'intéresser du marché du câble.
Longtemps malmené par les errance stratégiques de sa maison mère vivendi universal et par les promesses technologiques non tenus des équipementiers, Cegetel dispose enfin avec l'ADSL d'une technologie éprouvée pour proposer le multiservices à ses clients, associée à la promesse de la facture unique. Reste à réussir le dégroupage qui ne concerne, pour le moment, que 1% des abonnés français au téléphone...
