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Si Take-Two reste l'un des éditeurs le plus en vue du moment toutes plateformes confondues, il vient toutefois d'annoncer rien de moins que 50,2 millions de dollars (39,7 millions d'euros) de pertes pour le second trimestre de l'année fiscale en cours. Une telle nouvelle a bien sûr fait trembler le cours de son action (17,53 % de baisse sur la dernière séance) et les experts financiers de l'éditeur cherchent donc à rassurer les investisseurs...
Un expert financier ça ne doit pas beaucoup suivre l'actualité du jeu vidéo puisque pour parvenir à ses fins, Take-Two a décidé de ressortir l'arlésienne du jeu vidéo, le roi des retardataires, Duke Nukem « for never ». L'éditeur a ainsi indiqué qu'il avait revu à la baisse le contrat le liant à 3D Realms. Ce dernier ne devrait plus toucher « que » 4,25 millions de dollars en lieu et place des 6 millions initialement prévus (3,36 contre 4,75 millions d'euros). Afin de pousser 3D Realms à sortir le fameux jeu avant le 31 décembre de cette année, Take-Two est toutefois prêt à verser un bonus de 500 000 dollars (396 000 euros).
Bien maigre carotte alors que 3D Realms ne semble pas le plus à plaindre des développeurs... Les experts de Take-Two espèrent sans doute que les investisseurs croient encore au Père Noël ;-)
Un expert financier ça ne doit pas beaucoup suivre l'actualité du jeu vidéo puisque pour parvenir à ses fins, Take-Two a décidé de ressortir l'arlésienne du jeu vidéo, le roi des retardataires, Duke Nukem « for never ». L'éditeur a ainsi indiqué qu'il avait revu à la baisse le contrat le liant à 3D Realms. Ce dernier ne devrait plus toucher « que » 4,25 millions de dollars en lieu et place des 6 millions initialement prévus (3,36 contre 4,75 millions d'euros). Afin de pousser 3D Realms à sortir le fameux jeu avant le 31 décembre de cette année, Take-Two est toutefois prêt à verser un bonus de 500 000 dollars (396 000 euros).
Bien maigre carotte alors que 3D Realms ne semble pas le plus à plaindre des développeurs... Les experts de Take-Two espèrent sans doute que les investisseurs croient encore au Père Noël ;-)