Au menu de cette version 18 de Studio pas de révolution, donc. Non. Le paradigme d'utilisation du logiciel ne change pas, même s'il a légèrement évolué pour arriver à un nouveau compromis du temps où Avid s'était offert Pinnacle. L'interface sombre du logiciel comprend une vue principale constituée de trois éléments : la bibliothèque avec vos films, musique, et autres effets, l'écran de visualisation avec ses contrôles média et l'habituelle timeline.
Nouveauté 2014 donc, Studio 18 est proposé pour la première fois en édition 64 bits avec à la clé des performances de rendu accrues... en principe. Naturellement, le logiciel reste disponible en version 32 bits. L'autre nouveauté du cru 2014 c'est l'inclusion de Triple Scoop Music, 17 musiques libres de droit que vous pourrez utiliser pour sonoriser vos vidéos. Le module Live Screen Capture permettant de capturer une voix et un flux audio en direct a, de son côté, été amélioré pour permettre la capture de séquences depuis votre écran.
Pinnacle propose trois éditions de son logiciel : la version standard à 59,95 euros TTC en version complète, la version Plus à 99,95 euros TTC qui apporte notamment les fonctions d'import/édition et export 3D et enfin la version Ultimate à 129,95 euros TTC. Cette dernière mouture du logiciel se dote, et c'est nouveau, de la prise en charge des vidéos 4K (y compris XAVC) et d'effets additionnels NewBlue.
Fort logiquement, Pinnacle offre une tarification mise à jour avec un rabais de 30 euros pour Studio 18 Plus et 40 euros pour la mouture Ultimate à tous les possesseurs de Studio 9, 10, 11, 12, 14, 15, 16, 17 et Avid Studio. Faute de version d'essai, nous vous renvoyons au site de l'éditeur pour plus d'informations sur Studio 18.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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