Le site de vente en ligne Cdiscount lance une nouvelle tablette Cdisplay à un prix défiant toute concurrence : 120 euros.
Il y a deux ans, Cdiscount créait l'événement avec une tablette Android deux fois moins chère que ses concurrentes. À la manière des liseuses Amazon Kindle, l'appareil affichait des publicités sur l'écran de verrouillage et sur l'écran d'accueil pour compenser son tarif de 50 euros.
190 x 111 x 9,3 mm
Cette rentrée, l'enseigne lance une nouvelle tablette Cdisplay plus chère mais plus intéressante. Elle est effectivement vendue 120 euros, et même 100 euros aux membres Cdiscount à volonté (équivalent du programme Amazon Premium), mais elle « s'affranchit désormais des offres publicitaires ».
La nouvelle Cdisplay est par ailleurs une tablette premier prix (presque) sans concession, de nouveau fabriquée par Haier. Elle mise essentiellement sur son écran, un IPS de 8 pouces et de 1920 x 1200 pixels. Elle se contente par ailleurs d'une modeste puce MediaTek MT8163, comportant un CPU à quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 1,5 GHz, un GPU ARM Mali T720, du Wi-Fi 802.11n double bande, du Bluetooth 4.1 et du micro HDMI. Cette puce est associée à une quantité honorable de 2 Go de mémoire vive et à 16 Go de mémoire interne, étendus de 16 Go supplémentaires par le biais d'une carte microSD fournie. Les deux appareils photo de 2 millions de pixels chacun font de la figuration, mais on trouve par ailleurs une généreuse batterie de 4000 mAh et Android 6.0 Marshmallow, l'avant dernière version.
En somme, le cru 2016 de la tablette Cdisplay convient à un usage modéré de consultation de sites internet, de vidéos et d'applications diverses. Elle est en revanche déconseillée aux joueurs, sauf s'ils se contentent de jeux de réflexion peu exigeants tels que Candy Crush ou Clash of Clans.
Cette tablette Cdisplay est disponible en précommande, exclusivement chez Cdiscount, en vue d'une disponibilité le 21 octobre.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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