HTC annoncera la semaine prochaine le lancement en France du « ChaCha », mais certains distributeurs et opérateurs ne l'ont pas attendu. Le premier Facebook phone du marché est effectivement d'ores et déjà disponible, l'occasion d'en découvrir le tarif et d'en rappeler brièvement les caractéristiques.
Facebook à portée de main
Le « HTC ChaCha » se distingue des autres smartphones du fabricant par une touche Facebook dédiée et par une version adaptée de la suite applicative et de l'interface HTC Sense.
Le « bouton de partage rapide » permet pour commencer de partager du contenu directement depuis une multitude d'applications : devant une photo, une vidéo ou un site Internet, d'une simple pression sur cette touche dédiée.
Les publications Facebook font quant à elles la pluie et le beau temps sur l'interface HTC Sense adaptée, où elles remplacent l'éternelle météo sous l'horloge. Un widget inédit Facebook Chat permet de voir qui est connecté directement de l'un des écrans d'accueil. Un clavier complet permet enfin de saisir confortablement du texte.
Une fiche technique honorable
Le « HTC ChaCha » abrite une puce tout-en-un (SoC) cadencée à 800 MHz, 512 Mo de mémoire vive et 512 Mo de mémoire interne, extensible au moyen d'une carte microSD. Une fiche technique inférieure à celle du HTC Desire, ce qui ne l'empêche pas de fonctionner sous Android 2.3 Gingerbread.
Son petit écran HVGA (480 x 320 pixels) de 2,6 pouces est surmonté d'un capteur frontal VGA (0,3 million de pixels), tandis que le capteur dorsal couplé à une LED photographie à 5 millions de pixels.
Il offre enfin une connectique et un panel de capteurs riches, comprenant HSDPA bi-bande, Wi-Fi N, Bluetooth 2.1, GPS, compas électronique et accéléromètre.
Le « HTC ChaCha » est donc commercialisé nu au prix public de 290 euros. Il est également proposé dès aujourd'hui à partir de 1 euro pour la souscription d'un forfait chez Virgin Mobile, et sera proposé par Orange à la fin du mois de juin.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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