Sony complète sa gamme de modules photographiques du QX1, un produit permettant de doter un smartphone, via Wi-Fi, d'un très grand capteur et d'un objectif amovible.
Un an après avoir inauguré un nouveau genre d'appareils photos avec les QX100 et QX10, Sony annonce cette année l'expansion de sa gamme de « smart lenses » avec les nouveaux QX30 et QX1. Si le QX30 n'est qu'une variante smart lens de l'appareil photo compact HX60, héritant tout particulièrement de son zoom 30x, le QX1 est quant à lui une variante... d'un hybride Alpha !
Le Sony QX1 permet donc de doter un smartphone d'un grand capteur et d'objectifs interchangeables. Ce module photographique —qu'on peut fixer à un terminal Android ou à un iPhone puis/ou qu'on peut télécommander via Wi-Fi — hérite effectivement des principales caractéristiques des appareils photo Alpha 5000 ou 5100.
Il dispose donc d'un capteur APS-C, plus de 20 fois plus grand que celui intégré à un smartphone, de 20 millions de pixels, d'une puce de traitement Bionz X, ainsi que d'une monture E pouvant accueillir les objectifs des hybrides Alpha. L'éternel 16-50 mm, une focale fixe extra-plate ou au contraire un puissant téléobjectif. Reste à chacun de juger si, quitte à transporter de tels objectifs, il ne préfère pas transporter un véritable boîtier, même si la connexion automatisée en NFC de ce smart lens ne rend pas la mise en route tellement plus longue.
Ce Sony Smartlens QX1 sera quoi qu'il en soit bientôt disponible au prix public de 300 euros sans objectif, ou de 450 euros avec le zoom 16-50 mm susmentionné. Le QX30 sera quant à lui vendu 300 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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