En direct de Berlin. TomTom expose pour la première fois son application pour Android, trois ans après avoir débarquée sur iPhone. Après plusieurs signes précurseurs, son lancement se concrétise enfin.
TomTom pour Android est effectivement déjà en circulation, en première monte dans des véhicules dont le système de divertissement repose sur Android. Il suffisait donc de le rendre indépendant. En outre, la société a récemment lancé de nouveaux supports de voiture, dont un pour smartphones Android. Il ne faisait aucun doute qu'il ne servirait pas longtemps qu'aux applications concurrentes.
Une représentante de TomTom a justifié ce délai par la volonté de parachever en priorité le travail commencé sur iPhone, et par la complexité du marché Android, c'est-à-dire de l'hétérogénéité des versions, des tailles d'écrans, etc. Des difficultés qu'ont toutefois surmonté d'autres éditeurs de solutions de guidage.
Sans surprise, « TomTom pour Android » offre toute la panoplie de fonctionnalités des GPS autonomes et de l'application iPhone, mais une apparence distincte et moins réussie. Par rapport aux solutions gratuites, et en particulier de Google Navigation, TomTom bénéficie donc d'un fonctionnement entièrement hors ligne (y compris le calcul d'itinéraires), du guidage à la voie près, de la synthèse vocale, d'IQ Routes, d'HD Traffic et des alertes radars et d'autres zones de danger.
« TomTom pour Android » devrait être disponible au mois d'octobre, pour des tarifs proches de ceux sur iOS.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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