Dans la gamme Cobalt, Archos introduit les modèles 4G 50 et 55 Plus avec des coques colorés qui est l'un des atouts mis en exergue par la marque. Le modèle Archos 50 Cobalt embarque un processeur quadri-coeurs Mediatek à 1 GHz, 1 Go de mémoire vive ainsi qu'un écran IPS HD de 5 pouces. Avec 8 Go d'espace de stockage (et un slot microSD) une batterie de 2000 mAh, le smartphone est pourvu d'un appareil photo de 8 mégapixels et d'une caméra en façade de 2 mégapixels. Le tout mouline sous Android 5.1 Lollipop pour la modique somme de 99 euros. Dans sa version 55 Cobalt Plus, Archos propose un terminal avec écran 5,5 pouces et quelques différences : 2 Go de RAM, 16 Go de stockage, un APN 13 mégapixels et une batterie plus conséquente. Le tout pour 149 euros TTC.
La gamme Power vise les utilisateurs en recherche d'autonomie. Ainsi l'Archos 40 Power est un téléphone de 4 pouces avec processeur quadri-coeurs, 8 Go d'espace de stockage (seulement 512 Mo de mémoire vive) et une batterie de 1900mAh. Ici Archos évoque une autonomie de deux jours. L'Archos 50 Power, compatible 4G, est lui pourvu d'un écran 5 pouces toujours avec processeur quadri-coeurs alors qu'il comporte 2 Go de mémoire vive et 16 Go d'espace de stockage. La batterie culmine à 4000 maAh pour une autonomie de plus de deux jours selon Archos. On retrouve ici un APN de 13 mégapixels. Attendu pour mai 2016, lArchos 40 Power est annoncé à 49,99 euros TTC, contre 129,99 euros TTC pour l'Archos 50 Power. Les deux terminaux sont sous Adroid 5.1 Lollipop.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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