Depuis que l'Icann a publié la liste des demandes d'extensions de noms de domaines (.apple, .paris, .arts...), les marques fourbissent leurs armes afin de pouvoir détenir et utiliser ces nouveaux gTLD. Ces dernières devront également protéger ces extensions des éventuels cybersquatteurs via plusieurs procédures mises en place par l'Icann ou des sociétés spécialisées.
Les discordes relatives à la nouvelle génération des noms de domaine se multiplient et après les demandes d'Amazon ce sont désormais celles de Google qui sont au coeur d'une objection.
L'hébergeur français annonce avoir levé pas moins de 140 millions d'euros auprès de 10 établissements. Cette somme servira à développer ses activités en Europe mais également en Amérique du Nord, secteur où OVH est déjà implanté.
Les extensions de noms de domaine génériques relatifs au secteur de l'édition et déposés par Amazon ne font pas l'unanimité et deux associations d'auteurs et d'éditeurs ont décidé de se faire entendre.
L'hébergeur français OVH, qui revendique la première place du secteur en Europe, compte multiplier les embauches jusqu'en 2015 au moins, afin d'accompagner l'ouverture de ses centres de données.
Le spécialiste du nom de domaine et de l'hébergement Go Daddy entend multiplier ses activités et annonce le rachat de la société M.Dot pour la création de sites mobiles.
Le spécialiste des médias en ligne Demand Media annonce le rachat du bureau d'enregistrement Name.com.
L'ICANN, l'organisation chargée de superviser la gestion des suffixes Internet, a publié une première liste des objections relatives à la mise en place des nouveaux domaines de premier niveau génériques.
La Cour d'appel de Paris vient de rappeler qu'un bureau d'enregistrement des noms de domaines n'a pas à faire de contrôle a priori des demandes, même si des personnes cherchent à utiliser la notoriété d'une marque. Seul le juge peut demander à l'Afnic et EuroDns de bloquer un nom de domaine.
En conflit avec leur hébergeur, nos confrères lyonnais de MacGeneration et iGeneration ont été contraints de changer les URL de leur site, et souffrent désormais d'un blocage des redirections depuis leurs anciennes adresses.
Après avoir connu une panne de plusieurs heures en début de semaine, l'hébergeur Go Daddy présente ses excuses. Scott Wagner, le p-dg du groupe indique qu'il offre un mois de service gratuit à l'ensemble de ses clients.
Victime d'une panne de plusieurs heures hier soir, le service d'hébergement Go Daddy réfute aujourd'hui l'idée d'une attaque par déni de service (DDoS) au profit de problèmes internes sur son réseau. Une information qui contredit une déclaration d'un hacker.
Gros temps pour le professionnel de l'hébergement qu'est Go Daddy. Il s'avère en effet qu'un certain nombre de sites hébergés par Go Daddy sont inaccessibles. Un pirate revendique le crédit de cette attaque depuis Twitter.
Après le lancement officiel de deux structures (Numergy et Cloudwatt) appuyées financièrement par l'Etat (via le Programme d'Investissements d'Avenir), les acteurs français du Cloud computing s'interrogent sur l'intérêt du projet. Jules-Henri Gavetti, le p-dg de l'hébergeur français Ikoula estime que cette initiative n'a pas sa place dans le paysage technologique.
L'ICANN explique que la mise en place des gTLD, les nouvelles extensions de noms de domaine, est finalement plus compliquée que prévu.
Le spécialiste des infrastructures de communications Verisign annonce qu'Internet serait constitué au total de 233 millions de noms de domaines.
L'Icann vient à nouveau d'être choisie par la National Telecommunicatons and Information Administration pour opérer la gestion des adresses IP. L'autorité dépendante du département américain du commerce va ainsi conserver la gestion des domaines de premier niveau pour une période maximale de 7 ans.
En charge du .fr depuis 1997, l'AFNIC a été reconduite dans ses fonctions pour les cinq ans à venir. Parmi ses engagements, elle promet une réduction de 5% d'ici deux ans sur les noms de domaine munis de l'extension qui désigne la France.
La fondation Wikimedia serait-elle en passe de se transformer en véritable portail open source ? De nouveaux noms de domaine viennent d'être déposés.
Cette semaine l'ICANN, chargée de superviser les suffixes Internet, a publié la liste des candidats souhaitant acheter leur gTLD. Sur les 1930 candidatures, 84 dossiers sont à vocation communautaires (.arts) tandis que 66 sont des identités géographiques (paris, .corsica). En Europe, 675 demandes ont été formulées contre 911 aux Etats-Unis, 303 en Asie-Pacific, 24 en Amérique latine et 17 en Afrique. En France 55 dossiers ont été ouverts avec une société qui se démarque : L'Oréal.
L'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), l'organisation chargée de superviser la gestion des suffixes Internet, vient de publier la liste des dossiers déposés pour l'ouverture des extensions de noms domaine génériques.
Après 13 années de fonctionnement, le service de noms de domaine gratuits Ulimit.com fermera définitivement ses portes le 8 juin prochain. La fin d'une époque pour de nombreux webmestres amateurs de cette dernière décennie.
Le géant californien Google annonce avoir déposé plusieurs dossiers auprès de l'ICANN pour acquérir de nouvelles gTLD.
Afin de mieux protéger sa marque, le géant californien Google a récupéré plus de 750 noms de domaine.
Le Web français a connu quelques perturbations mercredi matin. L'incident, qui a débuté peu avant 10h30, fait suite à une coupure électrique survenue dans l'un des datacenters parisiens de Telehouse, où sont localisés de nombreux équipements nécessaires aux opérateurs ou aux éditeurs de sites.
L'hébergeur français Ikoula a annoncé mercredi le lancement d'une nouvelle offre, Flexicloud, qui permet de commander des serveurs virtuels configurables à la demande, facturés au mois.
De plus en plus de sociétés et institutions lorgnent sur la prochaine génération des extensions de noms de domaine. Cette fois c'est l'UER qui a manifesté son intérêt.
Lors d'une réunion au Costa Rica, l'ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), l'organisation chargée de superviser la gestion des suffixes Internet, a insisté sur la responsabilité des bureaux d'enregistrement.
Carpathia Hosting estime que la conservation de 25 pétaoctets de données appartenant à la plateforme lui coute 9 000 dollars par jour. L'un des hébergeurs principaux de MegaUpload a donc demandé à la justice américaine de trouver une solution au sujet de la conservation de ces informations.